Fanfics de Doucelili

À la demande, je viendrai poster ici sous peu les débuts de mon long récit. Comme il n'est pas achevé et que je me creuse le ciboulot à planifier mon mariage (qui arrive dans 25 dodos), je vous laisserai ici des bribes et m'y consacrerai à fond début juillet pour le terminer, je l'espère, avant le conventum.

Bisoux et merci de votre confiance ! J'ai hâte de connaître votre franche opinion.

Doucelili -xxx-

genial !!!!! quelle bonne idée !!!!!!!!!!!!!!

C'est ici que vous trouverez la première fanfic de Doucelili!

J'ai hate de lire ca!!!

pareil !!!!!!!!!!!!!!!!!

Me too !!! Hé Ninou, tu ne trouves pas cela étrange ??? On a réussi à mettre le message de Doucelili et sans l'effacer

un coup de chance c'est surement dû au fait que on savait pas comment faire et que dc ça a eviter de faire une boulette !!!!!!!!!!!!

eh bien, faut encore que je serve à quelque chose de temps en temps!!!

Comme quoi les fonctionnaires travaillent de temps en temps !!!!!

Ne sortez pas si vite, attendez de lire... ! Hahaha !

Voilà le début d'une longue histoire pas encore achevée, mais toute travaillée dans ma tête et qui se meurt de surgir sur papier. On verra ce que vous en pensez tout d'abord.

Levy et Sue dormaient paisiblement et Lucy, bousculée par des rêves entremêlés, semblait tout de même déterminée à demeurer endormie. Un rayon de soleil fit son apparition dans la fenêtre de la chambre de Sue et son réveil-matin sonna 6h00. Levy se leva d’un bond et se dirigea précipitamment vers sa maîtresse. Constatant qu’elle était bien sonnée, Levy se fit plus insistant en lui retirant un oreiller. La lourde tête de Sue roula sur le matelas et quelque peu embarrassée au départ, elle constata l’heure, appuya sur le bouton du réveil-matin et remercia son fidèle compagnon d’une caresse sur la tête. Assise dans son lit, elle contempla le matin qui se levait doucement sur Washington. Déjà, l’été avait laissé sa place à l’automne et malgré le ciel bleu qui règnait ce jour-là, elle savait pertinemment qu’il devait faire froid à l’extérieur ; elle savait puisqu’elle sentait le froid pénétrer sa chambre par les fentes de sa fenêtre et eut dès l’or l’envie folle de s’enrouler de nouveau dans sa couette. Le menton sur les genoux, le regard évasif, elle se remémora alors le souper d’anniversaire de Bobby célébré la veille ; les nombreuses blagues et les éclats de rire fusant de partout. Jack avait vu à ce que cette soirée chez Timmy’s (l’un des restos préférés de son cher copain) soit un choix unanime, approprié et convivial. Donna, l’épouse de Demetrius, ainsi que Stanley le copain de Tara acceptèrent également l’invitation. Quelques jours auparavant, Lucy avait réussi à soutirer quelques confidences de la part de l’équipe et Sue avait fouillé les anciens dossiers de son collègue. Après en avoir avisé Jack qui s’amusait à l’avance, elles avaient décidé d’emblée de lui offrir un bien-cuit à sa hauteur, c'est-à-dire géant et plein de rebondissements…

Levy fit son apparition au pied du lit, la laisse pendante de chaque côté de la gueule et la fixant de ses grands yeux noisette qui semblaient lui sourire.

« Oh… ! J’arrive mon chien. » lui lança Sue en sortant d’un bond de son lit.

Elle se rendit à sa garde-robe, puis à la salle de bain et en ressortie quelques minutes plus tard les cheveux remontés, vêtue de son habituelle tenue sport et ses chaussures de course.

« Allez viens Levy, allons marcher. » dit-elle à son chien, comme on parle à un enfant.

À l’extérieur, il devait faire environ 10 degrés. Les passants se faisaient rares et pressés à cette heure-ci, les revendeurs de journaux déballaient leur livraison quotidienne et on pouvait humer l’odeur enveloppante des cafés qui se préparaient. Sue croisa une intersection et se dirigea vers une tabagie avoisinant le parc. Elle donna 50¢ à l’homme qui lui remettait son journal chaque matin et d’un sourire plus que courtois, il la remercia avant de passer au client suivant. Impatient, Levy tira sur sa laisse et mena Sue à son habituel banc. Son regard insistant laissait deviner la suite.

« Tu ne te lasses jamais, toi ? Alors voilà, va chercher ta balle ! » dit-elle en sortant le précieux objet de sa poche.

Levy partit au galop et Sue s’installa pour lire les grands titres. La police arrête douze revendeurs « Joli coup de filet », se dit-elle, tout en poursuivant sa quête d’une bonne nouvelle dans les pages suivantes. Une dame se fait voler 12,000.00 $ dans son sac à main ; Possibilité d’un homicide sur un citoyen Américain à Londres ; Le Sénateur promet de collaborer sur l’affaire Trinton. Un peu embarrassée de n’y trouver que de mauvaises nouvelles ce matin-là, Sue froissa le journal en le refermant et le déposa à ses côtés. Son quotidien était parsemé d’escrocs à emprisonner, de gens suspicieux à interroger et elle avait envie d’être heureuse quelques heures de plus aujourd’hui. Elle voyait son fidèle cabot revenir en trombe vers elle et l’attendit avec hâte. Doublement heureux de l’accueil qui lui était réservé, le chien laissa tomber sa balle en battant de la queue et Sue lui relança, tout sourire. L’inlassable Levy repartit de plus belle et Sue, soupirant de bonheur, replongea dans ses pensées, revoyant les mêmes images qu’à son réveil. Ses pensées se firent plus insistantes en y ajoutant le sourire de Jack. Dieu qu’il était beau ! Si seulement… Son sourire s’estompa quelque peu et laissa place à des traits résignés. Levy revint à ses côtés à cet instant précis.

« On doit repartir mon grand, le boulot nous attend… »

Un peu déçu, Levy ne se fit pas prier pour autant. Sue repartie au pas de gymnastique vers son appartement, dépassant à gauche et à droite des passants de plus en plus nombreux. En entrant, elle fut saluée par Lucy, branchée sur les nouvelles télévisées, fardée et café à la main.

« Tu es déjà debout ? Mon Dieu, quelle heure est-il ? Es-tu tombée du lit ? »

Sa copine rigola avant de poursuivre :

« Désolée de te décevoir, mais je me suis effectivement organisée pour me lever tôt ce matin. Avec tout le boulot accumulé des derniers jours et les préparatifs pour la fête, j’ai du rattrapage à faire. »

« Bien ! enchaîna Sue, tu m’as laissé un peu d’eau chaude ? »

« Suffisamment pour que tu ne sois pas en retard au bureau ! Bon allez, je file. À plus ! »

Lucy vida le contenu encore chaud de sa tasse de café dans le lavabo, s’empara de son sac à main et son manteau et sorti précipitamment. Une fois la porte refermée, d’un air légèrement décontenancé, Sue dit à son chien :

« Je crois que le café devait être bien fort ce matin… »

Sue caressa la nuque de sa petite bête favorite, éteignit la télé et se rendit à sa chambre pour se préparer.

je pensais aller mais finalement, j'ai eu le temps de lire le début avant d'aller me coucher!!!!

je vais aller faire des beaux rêves maintenant en pensant au sourire de Jack (pas de commentaires les filles!)


pour ce début prometteur! c'est très bien écrit! j'ai hate de lire la suite!!!!

Inquiète toi pas Doucelili moi je reste pour lire ta fic.


Très bon début de fic,moi aussi j'ai hâte de lire la suite.

Bon maintenant je crois que je vais aller aussi me coucher.

Je continue demain, maintenant au dodo les filles !

P.S. N'oubliez pas de commenter, je sais qu'il y a des fautes de style à corriger, mais la forme... Vous en dites quoi ?

moi je dit : vivement la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

la forme est parfaite! très facile à lire et très clair! continue comme ca!!!!

En entrant dans son département, Tara et Demetrius envoyèrent le bonjour à Sue. « C’était bien cette fête, et votre bien-cuit, ah je me suis bidonnée ! » lança spontanément Tara. Lucy souleva les yeux et lança un regard complice à sa collègue. Sue déposa ses affaires et se dirigea vers la machine à café. Jack et Myles firent leur entrée et interrompirent leur conversation pour saluer tout le monde.

« Où est Bobby ? demanda Demetrius, il n’arrive jamais sans toi d’habitude ? »

« Désolé de te vexer Dem, mais je l’ignore. poursuit Jack, Bobby n’était pas au café du coin ce matin. »

« Cette pauvre petite âme sensible a dû trouver la soirée d’hier plutôt éprouvante et il doit encore songer à tout ceci dans les bras de Morphée… » songea Myles.

Sue n’ayant pas compris le dernier bout de phrase, elle se tourna vers Jack qui lui épela le mot Morphée et l’origine de l’expression.

« Et toi, tu as bien dormi ? » lui demanda-t-il, le regard rieur.

« Très bien. Cette soirée a été vraiment très amusante et malgré les heures de sommeil en moins, je ne me sens pas très fatiguée. »

« En ce moment peut-être, mais lorsque tu auras à remplir toute cette paperasse, je te garantis que tu songeras à reprendre tes heures perdues. »

« Non voyons. répliqua Sue d’un ton sarcastique en reprenant sa tasse de café, un Agent du FBI ne dort jamais ! Et toi, tu dors pendant ton service ? »

Jack rigola de la boutade qu’il venait de recevoir et donna le point à Sue en concluant l’affaire d’un signe de tête. Bobby fit alors son entrée les traits tirés, beignet et café à la main. À le voir, ses collègues, tous sourires confondus, comprirent que la nuit fusse été courte et qu’il s’était levé en retard.

« Alors Bobby, tu te sens d’attaque ? La journée s’annonce plutôt chargée. » fit Myles d’un ton moqueur.

« Très amusant Myles… mais j’ai mes raisons. »

« Lesquelles, dis-moi ? lui dit-il le regard amusé et inquisiteur. Celle d’avoir légèrement plafonné l’état d’ébriété la veille ou d’être resté jusqu’à la fermeture du bistro ? »

« À moins que ce soit une jolie courtisane qui... ? » suggéra Tara

« Non vous n’y êtes pas, c’est pire… interrompit Bobby. Ma tante m’a téléphoné depuis l’Australie à trois heures du mat. Elle a papoté de choses sans intérêt pendant une bonne heure et m’a ensuite passé toute la maisonnée avant de raccrocher. Au bout du compte, je n’ai pas été en mesure de me rendormir avant cinq heures trente. »

« Oh, comme c’est charmant de la part de Tatie de passer tout l’après-midi avec son neveu préféré. C’est pas tous les jours qu’on a 35 ans, pas vrai Bobby chéri ? » lança Myles en lui collant une petite tape amicale sur l’épaule.

Résigné, vaincu, Bobby baissa les yeux et laissa ses collègues rire à ses dépends. Amusée, Sue trouvait qu’il faisait tout de même un peu pitié et lui recommanda de décrocher son téléphone pour le reste de la journée, au cas où le reste de sa famille aurait son numéro au boulot. Tous s’esclafèrent de cette dernière réplique et s’installèrent à leur poste pour y attaquer des piles de dossiers. Comptes-rendus, formulaires divers, entrées de données… On aurait entendu une mouche voler dans ce bureau, tant les employés étaient affairés et silencieux. Même le téléphone semblait avoir reçu l’ordre de faire silence radio. Au bout de deux heures, les employés n’en pouvant plus se cherchaient déjà mieux à faire et Bobby claquait sous la pression. Le désespoir de Lucy vint aux oreilles de ses tout-autant désespérés collègues et détectant du mouvement autour d’elle, Sue se retourna en direction d’où Jack levait les yeux.

« J’ai voulu bouger mon ordinateur de ce côté. J’avais bien assez de fil… mais en tirant sur la boîte, le fil s’est coincé sous la patte du bureau… et j’ai arraché la fiche. Maintenant, je dois installer cet autre fil dans la prise… derrière le classeur. »

D’un ton joyeux, Bobby sauta sur ses talons en s’écriant qu’il faisait bon « travailler » dans le vrai sens du terme et Myles se dirigea vers Lucy, le regard acerbe et la réplique facile se dessinant déjà à l’horizon. Lucy le pria de ne rien rajouter de plus, sans quoi elle l’étranglerait avec le fil qu’elle venait de briser. Quelque peu vexé sans pour autant s’avouer vaincu, Myles se chargea d’aider Bobby qui grognait en se pliant pour passer sous le bureau. Arriva ensuite Jack pour régler le litige qui opposait les deux hommes sur la façon de brancher un appareil électrique. Les trois femmes se réunirent autour du bureau de Tara et Lucy lança à ses copines :

« C’est à croire qu’ils disent vrai dans les journaux. Deux fonctionnaires et un superviseur pour faire un tout petit boulot, c’est du vrai gaspillage. »

« Ha, ha ! C’est bien vrai ! Regardez-les, tous unis pour la force ! » scanda Tara en levant son verre aux hommes qui déplaçaient maintenant le classeur.

Cinq petites minutes plus tard, Lucy et Sue se réinstallèrent à leur bureau sous l’œil inquiet de Bobby qui tenait à vérifier si tout était en ordre avant d’aller se rassoir. Le torse bombé tel un directeur d’école, il faisait faire des tests d’impression et de rédaction plutôt inutiles à Lucy pour voir à ce que tout était conforme. Elle le somma gentiment de retourner à ses quartiers et un semblant de paix se réinstalla dans le département.

genial la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! euh encore encore encore !!!!!!!!!!!!

Très bon début, j'ai hâte de lire la suite .. et de voir ton avatar !

Merci beaucoup ! Mon Avatar s'appelle Retina Reflector. Je trouvais qu'il faisait un peu contexte et vu en plage plus large, il est fascinant.

super cette suite!!! mais j'en veux encore!!!!

Super la suite,moi aussi j'en veux encore.

« Ah super ! L’heure de la pause repas a sonné, je meurs de faim ! lança Bobby qui semblait sortir d’un profond coma. Qui se joint à moi ? »

« Quelle excellente idée, où on va cette fois-ci ? »

« Hum, que penses-tu du Gourmando ? »

« Le Gourmando, c’est ce charmant petit resto italien sur la 7ième ? » demanda Myles à ses acolytes

« Oui, c’est bien ça. La nourriture est excellente et le service rapide, à ce qu’on dit. » lança Jack

Bobby reprit : « Rapide ou pas, j’ai bien l’intention de prendre mon heure complète afin de décrocher de cet avant-midi ennuyant. »

Jack se dirigea vers les bureaux des filles. Tara avait déjà enfilé son manteau et le remercia de son offre. Stanley était en ville et elle avait déjà prévu dîner avec lui. Lucy pour sa part, avait planifié son parcours afin de ratisser les boutiques, à la recherche de soldes intéressants. Posant son regard en direction de Sue, elle comprit qu’il cherchait à l’inviter pour le lunch.

« Oh désolée Jack, mais je préfère m’en tenir à un repas moins... calorique. lui dit-elle, sourire en coin, un peu embarassée. En fait, je m’étais préparée un pique-nique et j’avais envie d’aller dans le parc, profiter du beau temps qu’il nous reste. »

Levy sauta d’un bond en apprenant la nouvelle et n’attendait qu’un seul commandement pour courir appeler l’ascenseur. Jack lui souhaita une bonne pause avant de rejoindre ses copains qui discutaient d’un ton joyeux. À son tour, Sue enfila son manteau et telle était sa première idée, elle s’installa sous un rayon de soleil du parc en face. Elle prit quelques bouchées de son repas tout en distrayant Levy et une fois terminé, ferma les yeux un instant afin de profiter de la douce chaleur qui l’enveloppait. Réconfortée et engourdie par tout le bien-être qui s’installait peu à peu autour d’elle, elle caressait lourdement les longs poils de son vaillant compagnon qui avait posé la tête sur ses cuisses. Les yeux mi-clos, le regard béat face à tous ces jeux d’ombres et de lumières, le temps oublié et la tête vidée de réflexions, elle ne s’était pas rendue compte que Lucy traversait le sentier pédestre pour la rejoindre. Levy quitta sa maîtresse pour partir à sa rencontre et Sue reprit graduellement ses esprits.

« Alors, tu as trouvé ? »

« Oh tu parles, oui ! J’ai dégoté des chaussures extras qui iront parfaitement avec ma jolie tunique rouge et un capri vert saillant. Regarde comme il est beau ! »

« Super, je vois que tu as l’oeil une fois de plus. Moi et les soldes, ça ne colle pas. » lui répondit Sue tout en contemplant son joli pantalon... d’été !

C’est alors que le Blackberry de Sue, se mit à vibrer au creux de la poche de son veston. Elle le récupéra et pu y lire :



L’air préoccupé de Sue laissait deviner à sa copine qu’elle devait filer. Toujours aussi compréhensive et habituée à tous ces soudains voltes-face, Lucy pria Sue d’aller retrouver l’équipe. Après avoir traversé le carrefour, elle se dirigea vers le stationnement souterrain, s’installa au volant de sa voiture et consulta son itinéraire : la rue Folley était à environ 10 minutes du bureau. Lorsqu’elle arriva sur les lieux, elle en fit rapidement le tour des yeux, salua promptement les garçons et se tourna vers Demetrius, qui s’était joint à eux, afin de recevoir les dernières nouvelles.

merci pour cette suite !!!! Vivement la prochaine !

Super!!! merci pour cette suite!!!! pendant une seconde, j'ai eu peur que cette ruelle soit un guet-apens!!!!


pas trop paranoiaque la fille!