Fanfics de Doucelili

Les deux agents se dirigèrent ensuite chez le transporteur, à quinze minutes de là. Ils entrèrent par une porte entre-ouverte donnant sur un vaste entrepôt désert à cette période de la journée. Bobby s’impatientait, cherchant un signe de vie tant à gauche qu'à droite. Il finit par apercevoir un employé d’entretien au loin et courut en sa direction.

« Monsieur ? Je suis Bobby Manning, du FBI. Je suis ici pour rencontrer Richard Gates. »

« Oh je suis désolé, il est parti y’a une heure voir un client. Vous aviez rendez-vous ? »

Bobby ne répondit pas à l’offre d’aide qui lui fut proposée et se retourna vivement vers un groupe d’employés discutant joyeusement près de la machine à café. Ils arboraient tous des vêtements de travail à l'effigie de l'entreprise et par leur forte stature, celui-ci en déduit qu'ils devaient être camionneurs ou employés d'entrepôt. Jack s’y rendit avant lui.

« Bonjour Messieurs, nous sommes du FBI. Est-ce que quelqu’un d’entre vous est allé pour une livraison au Port de Washington mercredi dernier ? »

Bobby précisa le nom du client et le lieu du chargement. Un homme costaud leur souri, alors que les autres se turent en le toisant du regard.

« Vous avez de la chance, je suis ici que très rarement. Que se passe-t-il ? » demanda le routier faisant dos à ses collègues qui se moquaient maintenant de lui.

« En fait, nous voulions vérifier votre feuille de route, car leur planification n’indique pas votre heure de sortie. »

« Oh, aucun problème, suivez-moi ! » lança-t-il en engageant le pas vers les escaliers.

La mezzanine offrait une vue étourdissante et répercutante sur tout l'entrepôt et d'un autre côté, les employés étaient plongés dans un décor futuriste semblable à celui d'un vaisseau spatial. Le concepteur avait collé de vives couleurs aux murets et suspendu des toiles contrastantes et foncées aux fenêtres. Il avait conservé les planchers de treillis métallique aux accès principaux, remplacé les rampes par d'épais panneaux de verre trempé, refusé de cacher les conduits d'aération et commandé de lourds bureaux. Cet univers fascinait Jack qui observait béatement chaque détail, se disant intérieurement qu'il aimerait un jour être plongé dans un tel univers en permanence. Le conducteur les dirigea au bout d'une rangée de cloisons et stoppa sa course devant un vieux classeur noirci. Il sorti une pile de feuillets rose et pointa.

« Ici voyez ? Départ : 9h30. Ils font ça souvent vous savez, laisser la guérite ouverte. Pas très vigilants ces agents ! » répondit-il avec un sourire sarcastique en coin.

Jack réclama une copie, remercia l’homme et les deux acolytes quittèrent les lieux.

« Tara, c’est Jack. Tu peux indiquer 9h30 comme heure de sortie pour le Transit. Nous serons là dans une demi-heure. Du nouveau ? (…) Oui, génial ! À plus ! »

« Heureusement que les femmes ne travaillent pas en jupe chez Transit, tu imagines un peu la tête des autres ? » lança Bobby en refermant la portière.

tres pertinente la remarque de Bobby !!!!!

merci pour cette deuxieme suite !!!!!!!!!!

trop fort Bravo

Myles accueillit les dernières nouvelles avec intérêt, mais une lueur dans les yeux de ses collègues laissait présager qu’il y avait autre chose.

« Nous revenons d’une petite virée dans une fabrique de peluche –au grand bonheur de la petite Tara, et avons discuté avec le coordonnateur du service de transport. Titre plutôt exagéré dois-je préciser, compte tenu de l’état lamentable des lieux. »

Tara trancha : « Nous avons aussi réussi à retracer le transporteur, mais en poussant un peu plus la recherche du côté des ressources humaines, nous avons retrouvé un copain sur les anciennes fiches comptables… »

« Le clown ! » répondit Myles les yeux ronds de plaisir.

« Gilmour ? » s’étonna Bobby

« Oui, apparemment Rick a pris son pote Gilmour à midi au quai 21. Nous l’avons actuellement en détention et avons relancé l’avis de recherche avec ces nouvelles informations. »

« Gilmour ne travaille-t-il pas pour Freight Exports ? » demanda Bobby

« Pas spécifiquement : Steven a sa propre affaire et quelques clients dont le Shuttler et Freight Exports. rétorqua Lucy Il a donc menti lorsqu’on lui a parlé de son employeur : c’est lui son propre patron. Il prête ses services et se fait payer la route en liquide, excellent pour sauver de l’impôt et continuer de retirer tranquillement l’aide sociale. »

« Alors Rick et Steven sont copains ? »

« Les deux hommes se sont rencontrés dans une halte routière il y a deux ou trois mois et seraient selon toute vraisemblance entrés en contact uniquement la veille. Donc, Rick s’est probablement servi de lui, puisqu’après l’avoir déposé au croisement de la 395 et GWM le lendemain, il n’en a plus réentendu parler. »

« Mais attendez, fit Jack, n’était-il pas déjà sur les lieux ? »

« Effectivement. Rick a dû se renseigner ou s’organiser pour qu’il le soit, puisque la réceptionniste de la Toys for Kids Foundation l’a contacté pour l’aviser qu’un ami de longue date était en ville. Steven a laissé son véhicule au Port en avisant les autorités qu’il le récupèrerait dès le lendemain. »

« Il a dû avoir toute une surprise en apercevant la voiture de son copain se crasher dans le bassin. »

« Nous sommes présentement à vérifier ce point. » répondit Tara en regardant Jack, qui comprit aussitôt que Sue était en entrevue avec lui.

Jack remit la documentation à Myles et le briefa rapidement avant d’emboîter le pas vers le local d’investigation.

« Il semblerait que j’ai eu plus de chance que toi sur ce coup-là, non ? »

« Oui Myles, mais pour l’instant, je préfère remplir les trous qu’en creuser d’autres ! » fit Jack en lui tapant sur l’épaule avant de repartir.

Super j'adore

Je les trouves super ces suites Doucelili

,pour cette suite

Désolée pour ce long moment d'attente, voici la suite...

Inquiet que sa collègue ait été laissée seule avec un suspect, Jack s’était rendu au pas de course en direction du local. Levy releva les oreilles et Sue vit la porte s’ouvrir du coin de l’œil. Légèrement décontenancée par l’arrivée soudaine de son partenaire et embarrassée de n’avoir pu extirper quelque confidence supplémentaire que ce soit de l’individu, elle lui lança un regard bref et qui vint augmenter la tension d’un cran.

« Bonjour Steven. Alors, quoi de neuf depuis la semaine dernière ? »

« Rien du tout. » siffla l’homme entre ses dents

« Alors que faites-vous ici ? » demanda Sue

« À vous de me le dire, chère dame ! »

Jack s’impatientait. Gilmour en était à sa troisième entrevue et les suspicions de Myles avaient eu raison de son implication. Son ton désinvolte et arrogant venaient ajouter de l’huile sur le feu ; l’agent poursuivit en prenant une profonde respiration :

« Écoutez bien, nous savons que vous avez quelque chose à voir avec cette histoire, et nous allons démêler ça ensemble bien calmement. »

« Et si je coopère, vous me donnez combien ? »

« Cela dépend de ce que vous aurez à me dire. Peut-être que votre coopération réduira les charges qui pèsent contre vous ? » offrit Jack

« Qui est Rick, c’est ce que nous voulons. Tout ce que vous avez comme information à son propos nous sera utile pour le retracer. Il s’est servi de vous, il vous a menti ; ne protégez pas ce criminel et laissez-nous le coincer. Nous vous aiderons ensuite. » menti Sue d’une voix douce

« Vous avez raison, ce salaud s’est servi de moi. Il a appelé le client sous un faux prétexte. Je suis resté à poireauter en ville au lieu de rentrer gentiment chez moi. Comment aurait-il pu savoir que j’allais dans cette direction, si non cela ? C’était un bon gars, un peu trop sympathique si vous voyez ce que je veux dire. Il m’a payé une bière la première fois que je l’ai vu et s’intéressait à mon vécu. Et j’ai vidé mon sac comme un gamin chez le psy sans m’inquiéter. Il m’avait inspiré confiance. »

« Vous avez parlé de vos clients… »

« Oui. » soupira Gilmour

Le lien était fait, les deux agents savaient maintenant comment Rick avait réussi à joindre le camionneur.

« Parlez-moi un peu plus de lui. De quoi a-t-il l’air ? Savez-vous son véritable prénom ? »

« Richard, ça doit être son prénom… Enfin je crois. Tous les Rick s’appellent Richard, non ? Enfin… Il est plutôt grand et costaud, allure soignée, le menton carré et le regard dur. »

« Vous a-t-il parlé d’une amie de cœur ? » demanda Sue

« Non, pas du tout. »

« Et vous l’avez connu dans une halte-routière, c’est ça ? »

« Oui, ça fait déjà quelques mois. »

« Laquelle ? » insista Jack

« Celle de… Gullivers, en Ohio. »

« Et vous n’avez pas vu son camion ni d’insigne sur ses vêtements ? »

« Écoutez, c’est immense cet endroit, il faisait nuit et j’étais claqué. Je ne me suis pas attardé à ce genre de détail. »

« D’accord, lança Jack. Je vous remercie de votre temps Monsieur Gilmour. Nous verrons ce que nous ferons de ces nouvelles informations. »

« Eh ! Vous aviez dit que vous me libéreriez si je vous apportais quelque info supplémentaire ! »

« Nous avons dit que nous verrions si il y aurait possibilité de le faire, nous ne vous avons pas offert la clé des menottes. » affirma Jack en se relevant, avant d’ouvrir la porte à son équipière et son fidèle cabot, sous une pluie d’injures dont elle ne s’était pas rendue compte.

« Sue, je connais ton empressement, mais s’il-te-plaît à l’avenir, ne passe plus d’entrevues sans la supervision de quelqu’un d’autre. »

« Mais c’est… » fit-elle légèrement insultée

« Je sais. lui répondit-il avec un sourire. Nous irons rencontrer les employés de la halte-routière demain. Sait-on jamais… ! »

Sue acquiesça et entra la première dans le bureau. Tous les yeux étaient rivés vers eux et Jack remit ses derniers constats avant de proposer de lever le camp sur cette autre journée.

pour cette suite

géniale ta suite !!!!!!!!!!!!!!!

Merci pour cette suite

Cool, ça fait plaisir ! Désolée de vous avoir mis en plan si longtemps (oui je sais, incorrigible petite Lili), mais j'avais peur d'arriver au bout de mon texte sans nouvelle idée. Mais depuis peu, l'inspiration reprend le dessus et je défonce allègrement mes heures de lunch pour écrire quelques lignes de plus. Alors voilà, la suite...

Sue avait profité des quelques minutes de sommeil supplémentaires et du temps gris pour dormir un peu plus ce matin-là. Jack devait passer la prendre et Lucy avait déjeuné seule. Arrivée au bureau, elle se surprit à apercevoir les lumières déjà allumées au loin et huma une odeur de café qui flottait dans l’air. En poussant la porte, elle vit Myles qui leva promptement la tête avant de lui sourire.

« Oh, bon matin Lucy ! »

« Myles ? fit-elle, les points d’interrogation dans les yeux. Que fais-tu ici si tôt ? »

« Tant de choses à réviser dans ce dossier, je devais revoir certains détails. » lança-t-il en froissant une pile.

Lucy hocha la tête, déposa ses effets et se rendit à la machine à café. Se sentant observée, elle se retourna pour se verser une tasse et enchaîna la conversation, quelque peu mal à l’aise.

« Et… Tu as passé une bonne soirée ? » lui demanda-t-elle

« Oui, très bonne. » soupira Myles

Lucy reprit ses quartiers, visiblement embarrassée et toujours aussi intriguée. Lorsqu’elle lui demanda si tout allait bien, il lui répondit à l’affirmative puis se remit au boulot. Sa collègue en fit de même, offrant quelques coups d’œil brefs en direction du bureau du fond.

« J’oubliais, que je suis bête ! Tu veux une pâtisserie ? Je suis allé à la boulangerie et à cette heure, j’ai réussi à mettre la main sur leurs fameux croissants pomme et miel. Ils sont succulents ! » offrit-il tout sourire en s’avançant rapidement vers elle, la petite boîte dans les mains.

« Oh je te remercie Myles, mais j’ai déjà pris le petit déjeuner... »

Visiblement déçu, elle en prit tout de même un pour lui faire plaisir, spécifiant qu’elle aurait sûrement un petit creux durant l’avant-midi. Myles, heureux comme un enfant, retourna s’asseoir et rangea le dessus de son bureau avant de s’emparer de son stylo.

« Tu n’aurais pas quelque chose à me demander par hasard ? » demanda la secrétaire, le regard suspect.

« Lucy, tu me déçois… Les bons rapports entre employés ne devraient pas être discutables ! Si je t’ai offert ce croissant, c’est tout simplement que je voulais partager ce petit délice avec toi. »

Elle ne répondit pas ; échaudée des demandes incessantes de Myles tant au point de vue professionnel que personnel, elle n’entrevoyait que cette possibilité. Mais le ton qu’il avait prit pour se justifier était selon toute vraisemblance… honnête.

« Bon matin ! » lança Demetrius aux lèves-tôt

« Oh bonjour Dem. Quoi de neuf ce matin ? »

« Rien de bien particulier. Merci encore pour votre bon boulot : ma femme commence à vous détester. lança le superviseur en riant. Lucy, tu as vérifié les conversations ? »

« Non, j’allais le faire ce matin-même. Je suis vraiment désolée. »

« C’est d’accord. Alors tu feras équipe avec Myles ? »

« Bien sûr. »

Ils se regardèrent tout deux sans rien ajouter et Demetrius reparti vers une réunion de coordination hebdomadaire en saluant ses employés. Lucy prit les effets nécessaires et fit rouler sa chaise en direction du bureau de Myles.

« Bon, excuse-moi. C’est que d’habitude… »

« Ça va, n’en faisons pas une histoire. Je comprends que tu aies réagi ainsi. Alors, cette grosse brique : tu prends quelle moitié ? »

Superrr bonnnnn

pour cette suite

Très heureuse de te relire ma chère en ce matin d'octobre!

Ta suite est super et j,attends le reste avec impatience. Ne t'inquiètes pas pour les délais pcq je crois qu'on est plusieurs dans cette situation!!!

Bonne journée et je croise les doigts pour que l'inspiration ne te lâche pas!

Maria-Maude

vraiment géniale ta suite !!!!!!

Tara fit son entrée dans le département à son heure habituelle suivie de Bobby et furent tous deux surpris d’y retrouver le duo déjà affairé sur le même dossier, travaillant côte a côte. Le sourire légèrement en coin, elle lança un regard pétillant à son collègue qui fit toutefois mine de rien en se retournant vers la fenêtre pour étouffer un fou-rire. Pour briser le malaise, Tara salua ses copains et les informa qu’elle avait discuté de cette affaire avec Stanley et qu’il lui avait proposé son aide, ne pouvant pas toutefois quitter Londres avant échéance.

« Ne vous en faites pas, j’encrypterai les codes avant de les envoyer par courriel interne sécurisé. On m’a eu une fois et c’est un souvenir que je garderai longtemps en mémoire. »

Lucy hocha la tête et Bobby soupira en repensant au gang de Loco le Cinglé qui avait bien failli avoir sa peau deux ans auparavant.

« Tu crois qu’il y comprendra quelque chose ? Il n’a pas vraiment lu le dossier. »

« Justement, fit Bobby, peut-être qu’une vision extérieure pourra offrir une perspective et des éléments nouveaux. À dire vrai, nous sommes un peu dans l’embarras, alors pourquoi pas ? Que lui as-tu dit au juste ? »

« Presque rien. Seulement que nous avons relevé les codes sur une antenne de transmission piratée et un peu de l’histoire de Margaret. »

« Vous avez communiqué par téléphone ? » demanda Myles

« Oui, mais je n’étais pas chez moi et lui non plus. Nous nous donnons un point de rendez-vous sans toutefois trop changer nos habitudes : c’est génial la cryptographie ! »

« Alors tu utilises cette technique pour dire à ton mec de te joindre disons, au café du coin... ? » demanda Lucy

« Oui, en effet ! répondit Tara pleine d’assurance. Hier, je l’ai appelé du gymnase et lui d’une boîte téléphonique près de l’hôtel où il loge actuellement. »

Les deux hommes n’ajoutèrent rien, mais inquiet, Bobby expliqua qu’elle devait tout de même en informer Demetrius. Ce à quoi sa collègue ne rétorqua pas et jura de le faire, comprenant qu’il valait mieux envisager toutes les possibilités. Quoi qu’inquiétante, cette solution temporaire serait sûrement une alternative fort intéressante et il espérait en avoir des résultats rapidement afin d’en finir avec ses magouilles et retourner à une routine normale.

pour cette suite

tropppp bon, j'en redemande

t'es pas toute seule !!!

Eh ben dans ce cas, voilà... !

Sue et Jack quant à eux se dirigeaient lentement vers Canton, stoppant inévitablement leur course dans les nombreux bouchons de circulation. Levy à l’arrière respirait l’air humide et frais sans broncher et Sue révisait chacune de ses notes.

« Il y a donc neuf hôtels dans cette ville et six à proximité. J’ai noté les adresses par pertinence. »

« Très bien. Et tu savais que c’est en Ohio qu’a débuté l’Association de football professionnelle américaine ? Si nous avons un moment, j’aimerais bien aller au musée du Hall of Fame. »

« Jack, concentre-toi un peu. » lança Sue en pinçant le nez tel une maîtresse d’école.

« Oui oui, je sais, six hôtels dans les environs. Et plus de 27 équipes représentées dans ce musée, tu te rends compte ? » fit-il les yeux ronds et taquins

Sue lui rappela ses origines en grimaçant, s’empara de son gobelet de café et en prit une gorgée en avant de retourner son carnet. Visiblement, elle ne gagnerait pas la partie cette fois-ci. Jack avait souri avant de la rassurer, lui répondant qu’il y avait également plusieurs restaurants et casse-croûte près de la halte à investiguer. Sue le regarda fixer la route sans répondre, se disant que son collègue avait probablement les mêmes idées et que malgré le sérieux de cette enquête, il valait mieux ne pas trop se monter la tête ; d’autant plus que les soudains volte-face et les nombreux éléments fusant de partout jouaient à l’encontre de la planification des derniers jours. Elle appuya alors sur le bouton de la radio et demanda à son partenaire de lui réciter ce qu’il se disait. L’embarras se dessina rapidement sur le visage de Jack qui refusa systématiquement. Amusée, Sue insista et allait d'un élan tourner celui du volume lorsque le pauvre homme se mit à chercher ses mots en rythmant sa pensée de sa main droite et à fredonner une chanson.

« Quoi, as-tu dit que tes seins étaient petits et... ? » s’esclaffa Sue

« Ce n’est pas moi qui l’ait dit, c’est Shakira ! » pouffa Jack en augmentant le son, poursuivant de plus belle, sous l’air ébahi de son amie qui battait joyeusement le rythme, la main sur le haut-parleur.

Mon jeudi matin commence bien à la lecture de cette suite...

Bonne fds à toi

Maria-Maude