Fanfics de Doucelili

Merci pour cette suite !!! Et je te reconnait bien là dans "la blague de Sue" !!!

pour cette suite Doucelili!

Moi aussi la joke de Sue m'a bien fait rire! C'est le genre de chose qu'elle dirait!

Le lendemain matin, Sue s’éveilla dispose et la tête pleine de projets pour la journée. Sa longue nuit de sommeil lui avait certes fait du bien. Elle se prépara avec hâte tout en expliquant les derniers éléments à Lucy, et en grignotant leur déjeuner, sa colocataire raconta dans les moindres détails sa longue et agréable journée avec le clan Watson. Elles sautèrent dans la voiture de Sue et se dirigèrent vers le bureau avec ferveur : la journée partait du bon pied ! Myles accueillit les filles avec un splendide sourire avant de s’avancer vers elles. Lucy demeura suspicieuse un moment, mais le trouvait plutôt charmant alors elles engagèrent la conversation sur une multitude de sujets. Toute la bande se joignit à eux quelques minutes plus tard, ainsi que Demetrius tenant une pile de documents.

« Beau boulot les enfants, j’ai lu vos rapports et ils sont très éloquents, on avance ! lança-t-il Je dois passer en réunion. Prévenez-moi aussitôt si vous avez du nouveau. »

Tout le monde se mit alors en branle et on attaqua la journée de fond. Telle était la règle bureaucratique, chacun se vit remettre à tour de rôle une copie dites formelle de chaque document ayant un lien avec l’enquête inséré dans un dossier d’ensemble appelé par numéro. Cette procédure oblige chaque agent impliqué à se tenir aux faits et de juger la pertinence de chaque énoncé. Sue la première regarda attentivement chaque détail reporté sur chaque document, apposa sa paraphe et passa le tout à Tara pour qu’elle en fasse de même. Elle allait se consacrer à une tâche suivante lorsque Lucy apparut au centre de l’îlot.

« Je viens de recevoir un appel de l’agent responsable de la sécurité du terminal Georges-Washington. Une femme correspondant au signalement de Margaret vient tout juste d’embarquer dans un autobus en direction d'Hillsdale, au New Jersey. »

« Tara, fait tout de suite ériger un comité d’accueil à destination et organise-toi pour que le chauffeur soit avisé le plus discrètement possible qu’il n’y ait pas d'autres débarquements. » lança Jack

Tara sauta sur le téléphone et Myles appela Demetrius sur son portable, qui accouru aussitôt.

« Enfin, je n’attendais que ça ! scanda-t-il en se frottant les mains. Avisez bien l’équipe qui se rend là-bas de nous rappatrier cette jeune femme ici, dans nos locaux. Et je veux que quelqu’un aille prendre la déposition de l’agent de sécurité qui l’a repérée. Peut-être avons-nous des preuves supplémentaires à cueillir. »

Sue regarda Jack du coin de l’œil : il avait déjà mis la main sur son manteau et lui lança un regard furtif. Elle comprit dès l'or qu'elle se devait de le suivre, se leva d'un bond et prit rapidement ses choses. Levy sauta sur ses quatre pattes et vint se poster devant elle, queue battante.

« Et nous très cher Myles, nous allons préparer un interrogatoire en béton. » scanda Bobby

Les deux hommes s’emparèrent alors du dossier d’enquête sur le bureau de Tara et révisèrent chacun une moitié des documents. Bobby griffonnait les points à éclaircir sur un brouillon, tandis que Myles les inscrivait clairement à l’ordinateur. Peu importe la méthode utilisée, nul n’avait de doute que ce duo était doué dans l’art d’interroger un suspect. Tara qui s'était également installée sur le coin du bureau regardait voler les feuilles et lorsqu'elle le jugeait opportun, les subtilisa à son tour aux deux hommes pour les parapher, y allant parfois de brefs commentaires ou d'anotations.

merci doucelili pour cette tres bonne suite

pour cette suite

Fait plaisir ! Je vous poste la suite ce midi...

Près d’une demi-heure s’était écoulée avant que Jack et Sue n’arrivent au débarcadère. La secrétaire les dirigea vers le local de sécurité juste à côté. Un homme âgé, légèrement trapu et courbaturé les accueillis avec un large sourire, se frottant les poignets.

« Bonjour, c’est moi qui vous ait téléphoné. Comme je vous ai expliqué, je me suis tenu à l’affût des allers et venues ici depuis que j’ai reçu une télécopie de vos bureaux me signalant la disparition de cette femme. »

« Votre vigilance a certes été profitable. Que s’est-il passé exactement ? » demanda Jack

« Enfin, rien d’inhabituel. Les gens passent au comptoir, achètent un ticket, se postent en attente et dès que le bus arrive… »

« Oui, nous comprenons cela. Mais qu’est-ce qui a particulièrement attiré votre attention sur cette dame ? »

« Je ne saurais dire… J’avais en tête la description physique de la dame. Assez courant, je dois dire, mais je n’ai pris aucun risque. Quand je l’ai vu sur nos caméras de surveillance, j’ai sonné l’alarme. Il ne faut pas douter de nos jours, il faut foncer ! »

« Vous n’êtes donc pas certain à cent pourcent qu’il s’agissait bien de celle que nous recherchons ? »

« Pas tout à fait certain, elle a payé en liquide. L’image est un peu floue, mais il me semble distinguer ses traits. La carrure de son menton et la largeur de ses épaules, par exemple. Mais elle n’a pas la même coupe de cheveux… »

Perturbé, Jack demanda une copie de la bande vidéo.

« Voilà, c’est déjà fait ! s’exclama l’homme en se remontant la ceinture. J’aurais dû écouter ma mère et étudier un peu plus. Bosser pour le FBI, c’est beaucoup plus intéressant que de travailler dans cette boîte. »

Sue et Jack se regardèrent du coin de l'œil et le subalterne chargé des systèmes de détection électronique le toisa d’un regard surpris. Ils les remercièrent à nouveau avant de repartir avec empressement vers la voiture.

« Il faut se dépêcher à visionner cette bande vidéo, avant que l’équipe n’embarque la mauvaise femme. » lança Jack, embarassé.

Jack avisa Tara de se tenir prête à les recevoir et partit en trombe des lieux, faisant retenir sa sirène et tourner son gyrophare. Le temps jouait contre eux : l’autobus arriverait à destination dans moins d’une demi-heure. Les acolytes franchirent le seuil de l'édifice sur un sursaut d’adrénaline et avant de se rendre à son bureau pour passer un appel, Jack lança la cassette vidéo à Tara qui s’en saisit sans poser de question. En zoomant et clarifiant l’image noir et blanc, on pu mieux apercevoir les traits du visage de Margaret, ainsi que la partie supérieure de sa forte stature. Il n’y avait aucun doute. Jack s’empara du téléphone et confirma au chef d’équipe posté à Hillsdale de poursuivre l’opération : il donna ensuite une description des vêtements qu’elle porte, précisa qu’elle avait maintenant les cheveux aux épaules et arborait un sac à dos de couleur foncée. L’équipe se mobilisa contre un édifice commercial, à quelques mètres de l’arrêt et deux minutes plus tard, on vit le Charter faire son arrivée au bout du chemin.

Margaret avait vu les gyrophares de loin et devint aussitôt extrêmement nerveuse. Elle sortait de sa cachette après tout ce temps et voilà qu’elle se retrouvait acculée au pied du mur. Coincée, elle s’élabora alors une stratégie afin de sortir sans se faire repérer et changea sa veste pour un vêtement avec capuchon. Mais sa logique déficiente mêlée aux mouvements mal calculés et bruyants de la jeune femme avaient pour effet d’attirer l’attention des passagers voisins, qui n’auraient toutefois jamais osé le lui faire sentir. Le chauffeur stoppa son trajet à l’endroit désigné et fut accueilli par un agent de sécurité identifié par un badge et une casquette de la GWBBS, qui surveillerait chaque personne descendant du bus. Tous procédèrent au débarquement dans l’ordre et l’équipe observait de loin avec attention. L’homme saluait poliment chacun des usagers déguisant cette simple courtoisie pour vérifier le physique de chacun. L'inquiétude grandissante du groupe d'intervention qui comptait les passagers devenait de plus en plus importante et on se préparait à passer en phase deux, lorsque soudain, Margaret descendit à son tour, le capuchon attaché si solidement qu’il l’étranglait presque. Elle ne répondit qu’avec un léger signe de tête à l’agent qui la salua, rentra les épaules et emboîta le pas pour se diriger vers le stationnement, où des taxis étaient postés. Mais l’homme n’était pas dupe : il la rappela, prétextant qu’elle avait échappé quelque chose et la femme repérée tenta alors de s’enfuir à toute jambe, son sac lui ballottant d’une épaule à l’autre. Sa course fut stoppée par deux policiers et on procéda à son arrestation.

« Jack, on la tient. » avisa l’officier

« Super, merci les gars ! Vous me l’envoyez ici. »

Jack raccrocha en poussant un soupir de soulagement et ses collègues en firent autant.

« Qui a faim ? » demanda incontestablement Bobby avec le sourire en coin.

Doucelili
Merci pour cette suite

Sachant pertinemment que l’arrivée de Margaret se ferait dans l’heure, Lucy prit l’initiative de courir chez le traiteur pour y acheter le dîner de l’équipe. Tous mangèrent en vitesse, révisant le travail des deux interrogateurs.

« N’oublie pas de la secouer un peu. Elle est propice à laisser échapper quelques infos, vulnérable comme elle est sûrement. » lança Tara à Myles

« Ne t’en fais surtout pas, je compte bien ressortir de cette entrevue la pense pleine de nouvelles pistes. » scanda-t-il, sourire sarcastique à l’appui.

Sue se demandait si la force serait de mise dans cette situation et leur suggéra de procéder à petites doses, mais les hommes lui firent sentir qu’ils n’étaient pas si cruels et qu’ils allaient la mijoter, plutôt que de la cuisiner. Demetrius reçu l’appel tant convoité : Margaret venait de faire son arrivée dans la salle d’audience. Les deux agents lancèrent leurs gobelets et boissons aux poubelles, s’emparèrent de leurs questionnaires avant de quitter le département, la testostérone au plancher. Jack les suivit quelques minutes plus tard et demanda à sa collègue de la suivre, d’abord par simple curiosité et ensuite pour vérifier si la suspecte s’entremêlait dans ses versions. En arrivant derrière la vitre miroir, le duo constata que la tension était déjà palpable. Bobby, hors de lui, frappa sur la table de son poing, ce qui fit sursauter Margaret :

« Si tu ne parles pas, tu seras tuée également ! »

« Vous savez, on ne protège pas les criminels autant que vous puissiez en penser le contraire. Tant que vous ne direz rien, nous vous considérerons de la sorte et vous vivrez un vrai cauchemar. Vous avez vu les infos à la télé hier ? » demanda Myles le regard faussement apeuré.

« Je n’ai rien fait. » finit par avouer la dame en rentrant le menton

Sue se retourna vers Jack et il lui signa ce qu’elle venait de dire. Une inquiétude vint alors la troubler. Se pourrait-il qu’elle soit persécutée ou violentée ? Jack approuva cette dernière remarque.

« Alors qui ? Qui a fait ça ? Vous le connaissez, nous en avons la preuve ! » menti Bobby, se faisant de plus en plus insistant.

« C’est… un ami. Enfin, quelqu’un que je croyais être mon ami. » dit-elle le visage crispé, prête à fondre en larmes

« Et il a un nom cet ami ? » demanda Myles en la regardant de haut

« Je ne connais pas son nom de famille. Rick, c’est tout ce que je sais ! »

« Voyez-vous chère dame, je crois que vous mentez une fois de plus, et ceci est un délit Fédéral passible de plusieurs années d’emprisonnement. Encourager la criminalité par non-divulgation d’informations, ce n’est pas très beau pour votre dossier. Pour rehausser la crédibilité de votre petite entreprise en croissance peut-être, mais… »

La femme croisa les bras et se braqua. « Alors je ferai des années de tôle, je m’en fiche ! » scanda-t-elle

« Très bien ! » lança Bobby en dernière missive avant de se relever d’un bond

Margaret se retourna, le regard collé au plancher et vit du coin de l'œil les deux imposantes silhouettes sortir de la salle d’audience. Les complices avaient passé la première phase de l’interrogatoire avec succès. Ils allaient la laisser réaliser peu à peu ce qui lui arrivait et reviendraient à la charge quelques instants plus tard. Jack les rejoignit et Demetrius accourut aux nouvelles, son bureau étant posté tout près :

« Rick ? Hum, c’est bien peu. Mais nous avons un début. Nous ne lancerons pas de recherches tout de suite, des Rick y’en a plein l’État… Qu’est-ce que vous croyez ? »

« Ça peut laisser présager une histoire de cœur qui a mal tourné, ou comme nous le pensions au départ, un règlement de comptes. » suggéra Bobby

« Si je peux me permettre, interrompit Jack, essayez de voir si Margaret a été victime de violence. À en juger par sa constance à vouloir protéger ce mec… »

« C’est noté, j’y avais déjà songé. » répondit à nouveau Bobby

« Bien, ne lâchez pas le morceau les gars ! » fit Demetrius avant de repartir de plus belle

Sue interpella les hommes du bout du couloir. Elle était restée à observer les réactions de Margaret. À peine une minute après leur départ, se croyant seule et oubliant que la caméra était pointée dans sa direction, Sue avait noté qu’elle s’agitait nerveusement et semblait chercher des réponses dans son esprit : ses yeux roulaient de gauche à droite et ses mains tamponnaient la table.

« Allons-y avant qu’elle ne trouve le moyen de nous tourner en boucle, une fois de plus ! » scanda Jack

pour cette suite doucelili

toujours aussi bien doucelili !! Continues comme cela !

pour cette suite

Les hommes entrèrent à nouveau un peu plus rudement et sans prévenir, ce qui fit sursauter Margaret qui se retourna vivement vers eux, la bouche ouverte comme un enfant qu’on vient de prendre à piquer des biscuits. S’en suivi de Jack qui lui offrit le plus grand des sourire à son arrivée, décidé à participer également à l’interrogatoire. En le revoyant, la suspecte se senti à découvert, figea et plongea dans un état de confusion avancée.

« Oh, Margaret ! La terre appelle la lune ! » fit Myles en claquant ses doigts devant son visage.

La jeune femme sorti d’un bond de sa torpeur et Bobby s’élança sans retenue :

« À quoi vous étiez en train de penser à l’instant ? »

« À rien du tout… » chuchota Margaret, fuyant le regard de Bobby

Les trois hommes se regardèrent du coin de l’œil. Elle leur semblait tout à coup vulnérable, apeurée et sensible. Jack s’en approcha doucement et posa son coude sur le coin de la table, devant elle. Sans la fixer avec insistance, il s’élança :

« Margaret, je sais que vous n’y êtes pour rien dans cette histoire. Mais si vous avez peur, vous devez nous permettre de vous aider. Nous pouvons vous protéger. »

« Je ne suis pas une criminelle, je n’ai tué personne ! »

« Nous le savons Margaret, nous en avons la preuve. »

Soulagée par l’aveu et bercée par la douce compassion de Jack, les agents virent alors les yeux de la jeune femme s’embrumer. Elle retenait avec peine de très profonds sentiments, respirant bruyamment et sifflant des sanglots entre ses mâchoires durement fermées. Bobby lui offrit un mouchoir qu’elle accepta, toujours craintive, et Myles enchaîna :

« Nous croyons que l’homme est entré chez vous… Vous a-t-il fait du mal ? »

« Non, jamais il ne m’aurait fait de mal. Il m’aimait, il me désirait. » répondit Margaret

« C’était votre petit ami ? » demanda Bobby avec douceur, avant de se rassoir à ses côtés.

« Non. » fit Margaret avant de fondre en sanglots, cherchant le réconfort sur l’épaule de Bobby qui hésita quelque peu à lui offrir, embarassé.

« Margaret… poursuivit Myles Je comprends que cette situation soit extrêmement pénible pour vous, mais si cet homme vous traque, nous devons l’en empêcher. Nous ne voulons pas que vous viviez d’autres traumatismes. »

« Qui est ce… Rick ? » risqua Jack

Margaret prit quelques secondes avant de répondre, le temps d’analyser sa situation. Allait-elle se corrompre, voire mourir pour les informations qu’elle révèlerait ? En fait, elle l’ignorait. Et maintenant qu’on lui avait retiré le peu de confiance qu’elle pouvait posséder, elle choisit alors de se livrer, coûte que coûte, se donnant la force de parler dans un profond soupir.

« Sebastian était mon petit ami depuis quelques mois déjà. Notre amour était des plus vrais, celui qui vous donne envie de sourire chaque jour. On se fréquentait de plus en plus, il ne se passait pas une seule journée sans qu’il me téléphone et le mois dernier, il m’a offert un week-end dans une station balnéaire fort réputée et un magnifique pendentif. Ah je l’aimais tant… Il tramait dur mon Sebastian, il n’était pas souvent à la maison à cause du boulot, mais dès qu’il arrivait en ville, nous passions des moments merveilleux ensemble... » dit-elle évasive, cherchant au creux de son cou le précieux cadeau qui lui avait été retiré.

Myles visiblement ennuyé des histoires sans fin de Margaret, lui octroya toutefois le droit de parole, se disant qu’elle allait un jour cracher le morceau. Il appuya le pouce et l’index sur le côté de son crâne et la laissa poursuivre en soupirant. Ne se rendant pas compte de l’attitude reprochable de son intervieweur, la femme emprise à son récit enchaîna :

« Il comblait toujours mes besoins, me portait la plus grande attention du monde, je me sentais comme une véritable princesse à ses côtés ; il avait réussi à guérir mes maux de l’âme, vous savez. Alors que mes parents ne savent pas m’aimer à ma juste valeur, voilà qu’un pur étranger apparaît dans ma vie et me donne ce dont j’ai toujours rêvé. »

Myles releva les yeux en pinçant les lèvres et Margaret, dans toute sa sensibilité de femme malade, senti alors son tourment. Elle baissa la tête et se remit aux faits.

« Or voilà, un jour je suis à préparer le dîner et on sonne à la porte. Je n’ai jamais de visiteurs habituellement, alors j’ai mis du temps à répondre, vous savez… Alors j’ai regardé par le judas et j’ai vu Rick de l’autre côté de la porte. Rick, c’était le copain d’enfance de Sebastian. Il était déjà venu à l’appart quelques fois, mais pour m’éviter un stress inutile, ils sortaient toujours pour discuter. Jamais il ne l’avait fait entrer, par respect pour ma situation. Et je suis sûre que, sans vouloir le mentionner, il ne voulait pas me présenter à son ami : il craignait sûrement qu’il s’entiche de moi. Il me regardait souvent d’un drôle d’air, le sourire en coin, vous savez… »

« Alors Rick était à la porte ? » demanda Bobby, l’air naïf et faussement intéressé

Bon week-end les copines ! -xxx-

Hein tu nous laisses commme cela !!! Méchante fille

Bon week end à toi !

Hahaha, je me trouvais bête aussi, mais elle est un peu longue cette interview. Et surtout, je panique un peu puisque j'ai rattrapé ma longueur d'avance et que je ne travaille plus sur mon script depuis un mois. Vivement l'inspiration et le temps !

Alors ok, je vais mettre le reste de l'entretien après mon lunch : d'ici là, suspensssssssssse.

Gros bisoux tout plein ! -xxx-

pour cette suite
Bon week end à toi !

merci beaucoup doucelili pour cette suite !!!!!!!!!!!!!! mais j'ai hate de savoir la suite !!!!!!!!!!!!

J'ai rattrapé mon retard dans ta fic et je la trouve très bien. Continue comme sa.

continue dans ta fanfic mais combien de temp tu pense continuer d'écrire

pense mettre une autre suite aujourd'hui ??? j'espere que oui lol

pour cette suite !!!

Doucelili est en train de prendre soin de son petit chéri ... mais je suis sûre qu'elle nous reviendra bientôt ! Patience !!!