Fanfics de Doucelili

oui patience les filles ...... elle prend soin de son jack .... et elle a bien raison

Bon weekend à toutes !!!
AVIS à TOUT LE MONDE : SUE thomas Revient sur M6 tous les dimanches à 12H20 !!!!!!!!!!! SURTOUT ne la manquée pas, elle n'attend plus que nous !!!

ne t'inquiètes pas la 1ère partie de l'épisode 1 de la saison 1 est passé dimanche dernier .. se fut un plaisir d'entendre mon fils ainé dire : "maman, c'est la dame au chien "!!!

Merci beaucoup pour les suites,moi aussi je vais patienter
comme les fille.

Moi ausi je vais patientée:lol!:
PS/tres bel avatar Mimi22

Merci beaucoup Sabine57

Merci pour elle les filles !!

on sais etre tres patientes des fois ..... !!!!

COUCOU, C'EST RE-MOI !! Mon chéri a un coeur tout neuf et nous sommes de retour à la maison depuis dimanche. Wow que les journées sont chargées. Mais j'ai toujours une minute à vous consacrer pour venir coller un bout d'histoire. Sur le prochain post....... !

« Oui ! lança-t-elle J’ai eu peur, je ne voulais pas qu’il entre… Si Sebastian avait appris ça, il aurait probablement été en rogne. Alors je lui dis qu’il n’était pas à la maison et il me répond que sa sœur Nataly a été admise d’urgence à l’hôpital et qu’il doit absolument le joindre. Mais tout de même, je ne suis pas dupe, alors je lui ai répété que mon copain n’était pas à la maison et je n’entendis plus rien. Alors j’ai vu son ombre passer devant la fenêtre sur le côté et discrètement, j'ai regardé par le Judas. Je le voyais faire les cent pas en se frottant la tête. Il disait : « Merde, merde, comment je vais faire… » Alors j’ai douté qu’il aurait pu dire la vérité et en restant sur mes gardes, j’ai déverrouillé en lui spécifiant que j’ignorais où Sebastian était, mais qu’il allait téléphoner en soirée. Lorsque j’ai entre-ouvert la porte, il s’est rué dessus sans trop m'écouter et s’est en quelque sorte imposé chez moi. Il ne m’a pas fait mal, mais je n’ai pas aimé sa présence. Il avait l’air moche avec son vieux blouson de cuir, ses jeans sales et son sourire trop sympathique. Je vous le dis, le portrait type d’un vrai voleur ! Rien à voir avec Sebastian, il avait telement de classe… »

« Il est resté combien de temps ? » demanda Jack

« J’en sais trop rien... Une demi-heure peut-être ? Je n’ai pas mangé ni été à la salle de bain. Je ne voulais pas le perdre de vue et qu’il me chope mes affaires pendant que j’avais le dos tourné. Rick était dans mon salon et qu’il restait là, beta, à regarder les lieux sans rien faire que me sourire en coin l'air embarassé, sans rien dire. Tout à coup, ma mère m’appelle du deuxième en frappant sur le plancher. Je ne voulais pas aller la rejoindre, alors je l’ai appelé de la cuisine. Elle était surprise, elle m’a demandé pourquoi je n’étais pas montée. Alors je me suis choquée et lui ai dit que j’irais plus tard, que j’étais occupée. Ma mère ne comprenait pas, elle disait que ce n’était pas dans mes habitudes et je lui ai raccroché au nez avant même qu’elle ne rétorque quoi que ce soit d’autre. Aucune vie privée dans cette maison ! Non, mais ! » scanda Margaret offusquée

« Vous l’avez appelé de la cuisine ? » soupira Myles

« Oui… Le seul endroit où j’avais le téléphone… Je l’avoue, j’ai laissé cet imbécile dans mon salon seul pendant trente petites secondes. Quand je suis revenue, il était debout à regarder mes photographies dans ma bibliothèque, les deux mains dans les poches. Alors je suis sortie de mes gonds et je lui ai fait comprendre qu’il devait partir. Il ne s’est pas imposé, il a quitté en souriant et en s’excusant. Je ne l’ai même pas salué le salaud, j’ai claqué la porte et je suis montée chez ma mère. »

Jack fut saisi d’un doute. Plus il écoutait cette femme, plus il sentait chez elle que sa rancœur et sa conversation devenaient débordantes. Bien sûr, ce Rick aurait peut-être tué son petit copain, mais pourquoi lui en voulait-elle à ce point ? Son soudain intérêt à inculper cet homme lui semblait étrange, voire même suspicieux. Le ton qu’elle prenait lui donnait l’impression tout à coup qu’on voulait lui faire porter tout le blâme et il cru dès l’or qu’elle avait également quelque chose planqué au fond du tiroir.

« Vous croyez que cet homme aurait pu tuer votre petit ami ? » demanda Bobby

« Oh, ça ne fait aucun doute ! La même allure sale, l’attitude négligente juste que dans sa démarche, je ne vois pas autre homme que lui. » scanda-t-elle en se croisant les bras.

« Or vous avez affirmé lors de votre premier interrogatoire que vous n’aviez jamais vu cet homme auparavant. » souligna Myles

Margaret fut prise de court et balbutia en haussant le ton que le profil correspondait au geste, que c’était une évidence claire pour elle.

« Nous ne basons pas nos enquêtes sur des suppositions, Madame Robinson, mais bien sur des preuves tangibles et des témoignages hautement crédibles. Et je doute fort que vous nous disiez la vérité une fois de plus ! » lança Myles, exaspéré.

Il en eût assez de tout ce cirque et décida de la confronter afin d’en venir aux faits. Toutefois, la femme se raidit, rouge de colère. Elle cria aux trois agents d’aller arrêter les vrais coupables et de lui fouttre la paix.

« Bien, nous le ferons, soyez-en certaine. » répondit Bobby d’un ton qui tentait de doser les ardeurs, en lançant un regard dardant à son acolyte.

« Nous avons retrouvé du matériel informatique chez vous. Est-ce que cet homme vous l’a donné en échange d’un service, vous menaçant d’une quelconque façon ? » poursuivit Jack quelques secondes plus tard.

Margaret ne lui répondit pas. Pas plus lorsque Myles cherchait à comprendre où elle était passé tout ce temps et quand Bobby lui demanda ce qui était advenu de son ordinateur portable. Elle fixait la vitre sachant pertinemment qu’il y avait quelqu’un derrière, le regard endurci et menaçant. L’insistance des hommes à vouloir la faire parler l’enfonçait dans un mutisme où elle se sentait de plus en plus confortable. Elle sentait qu’elle gagnait petit à petit et l’exaspération des agents la faisait sourire intérieurement. « Vous ne m’aurez pas ! » se disait-elle

« Très bien, j’en ai ma claque ! J’ai autre chose à faire que d’interroger une morte ! » lança Bobby pour la faire réagir à son tour.

La femme sourcilla légèrement, mais pas suffisamment pour laisser croire qu’elle aurait à nouveau offert une certaine ouverture à la discussion. Les agents se levèrent alors bruyamment ; Jack demanda à Myles d’un ton invectivant d’organiser son transport vers le pénitencier et les trois confrères quittèrent la salle d’interrogatoire en claquant la porte. Margaret ne bronchait pas, elle en était pratiquement comateuse tant elle ne réfléchissait plus à rien. Bobby fut le premier à réapparaître dans le département, le pas engagé et l’air maussade. Ses acolytes en firent tout autant quelques secondes plus tard, ce qui piqua la curiosité des filles. Lucy et Sue s’approchèrent et Demetrius les rejoignit, le regard pétillant, prêt à recevoir de nouvelles confidences.

« Margaret nous a fait une jolie démonstration de ses droits civiques, elle refuse de parler ! » scanda Bobby en frappant le coin du bureau.

Le groupe plongea alors dans une profonde déception. Lucy demanda le résumé de l’entrevue et ce fut Myles qui lui raconta longuement chaque détail, tout en soulignant avec ardeur l’impertinent caractère de la suspecte. Sue se renseigna ensuite à propos de sa liaison avec Rick et Jack lui spécifia que son petit ami était l’homme qui avait été assassiné derrière chez elle.

« Tout ce que nous savons, c’est que Margaret et Sebastian filaient le parfait bonheur ensemble. Ils ne se voyaient pas beaucoup car à ce qu’elle raconte, il était vendeur sur la route pour une entreprise fort reconnue… que nous ne connaissons évidemment pas ! Toujours selon ses dires, le fameux Rick est un ami d’enfance de Sebastian et venait visiter son copain quelques fois. Ils ne discutaient jamais devant Margaret. Elle croit fermement que Rick aurait pu tuer cet homme et nous le pensons aussi. Toutefois, nous devons comprendre le lien entre ces deux personnes et sans ordinateur, nous n’aurons pas la tâche facile. »

« Et si elle avait passé un coup de fil ? On a vérifié les registres d’appel ? » demanda Sue en se tournant vers Lucy

Toute la bande s’étonna de ne pas avoir pensé à ce détail plus tôt. Sans broncher, Lucy retourna en trombe à son ordinateur et lança une recherche. Du même élan, elle sortit une fiche protocolaire d’approbation pour le département de surveillance électronique que Demetrius signa en repassant devant son bureau. Tara qui était demeurée en recul pour terminer ses recherches interpela tout le monde.

pour cette suite

Contente pour cette bonne nouvelle Doucelili
Je souhaite un bon rétablissement à ton chéri

pour cette suite !!!!!!!!!!!


au plaisir de te relire miss ...... !!!!!!!!!!! et bonjour a jocelyn !!!!!!!!!!

Fait plaisir, et merci pour vos bons voeux, je lui transmettrai !

Prochain rendez-vous : demain !!!

genial merci beaucoup !!!!!!!!!!!

Bon retour parmi nous Doucelili !!! Merci pour cette suite et surtout :

pour cette suite! Je suis contente de te revoir parmi nous en pleine forme!!!!!

Dis bonjour à Jocelyn de notre part et souhaite lui un prompt rétablissement!!!!

Wow, tout cela me touche beaucoup. J'ai transmis vos bons voeux à Jocelyn hier à mon retour du boulot et il était renversé de voir à quel point internet forge de belles amitiés. Merci encore de tout mon coeur les filles !!!

(Je vous poste la suite ce midi...)

tu diras que l'on fait de parfaites rencontres sur le net

et vivement midi chez vous .....

olalalalalalalalalala le boulet que je suis j'ai meme pas vu pour ton mari excuse moi j'espere qu'il va mieu ???????

Dsl d'avoir mis du temps a te le dire javais pas vu que il etait malade

Bon retablissement en tout cas et passe lui le bonjour de ma part

« Bonne nouvelle, j’ai reçu des nouvelles des T.I. ! »

Sue se retourna vers Jack qui lui signa. « T.I. : techniciens en informatique. Quoi de neuf, Tara ? »

« Bobby, je regrette infiniment que tu ne m’es pas emballé le présent que tu m’as remis l’autre jour. Car pour une surprise, s’en est bien une ! »

Tara déposa la boîte sur son bureau et envoya une image à l’écran.

« Nos adorables techniciens ont retrouvé la puce électronique sur laquelle était stockée la mémoire temporaire et ont pu déchiffrer non seulement les dates et heures des transmissions, mais également les messages envoyés. Toutefois… Je dois vous l’avouer, c’est assez étrange… »

Tous se retournèrent vers l’écran et constatèrent avec horreur une colonne de cinq transmissions ne semblant avoir aucun sens logique, si ce n’était de la longueur de caractère qui était la même pour toutes.

« Le premier qui brise le code gagne ! » scanda Tara en soupirant

« Et ce code, ton copain ne pourrait-il pas s’en charger ? » demanda Jack

« Malheureusement, il vient tout juste de quitter pour Londres. Il en a pour deux semaines, mais je vais tenter de le joindre et le supplier de remettre le contrat à quelqu’un d’autre. »

Chacun se vit remettre une transcription des codes et reprirent place, confus. Lucy accouru souriante au bureau de Jack pour l’aviser que le département d’écoute était déjà sur l’affaire et qu’ils auraient des nouvelles fraîches dès le lendemain matin. Jack était emballé : elle savait toujours quelle ficelle tirer pour faire avancer les choses plus rapidement dans ce bureau.

pour cette suite !!!!