Sue goes to New-York

A quand une suite???????? :cry: :cry: j'espere qu'elle sera pour bientot, profite de ta petite fille tu le mérite

A bientot j'espere pour la suite

Sab

Moi qui croyait enfin que Jack et Sue allaient être heureux
Ben non

Moments difficiles à passer, j'attend la suite avec impatience
Merci pour cette suite Gérard

J'avais oublié un congé pédagogique. Mais me revoilà comme dirait une personne que l'on connaît et aime bien. Mes écrits reprennent le rythme habituel. En espérant que l'intrigue sera vous intéresser.

Démetrius le rattrapa et tenta de le raisonner.

Démetrius: Voyons Jack, ne fiche pas ta carrière sur un coup de tête.
Jack: Il s'agit de Sue, Dem. Que ferais-tu s'il s'agissait de Donna ou des enfants?

Démetrius ne répondit pas. Il savait que Jack avait. Il aurait poser le même geste pour sa famille. Il rejoignit le groupe et les informa que l'idée de Jack était bien arrêtée et que personne ne pouvait le faire changer d'idée.

Jack prit contact avec les autorités chargés des recherches. Il les informa que parmis les passagers se trouvaient une personne sourde avec son chien d'assistance. Il parti en trombe faisant crisser les pneus de son Envoy GMC, huit heures de route devant lui avant de rejoindre le poste de commandement des recherches. Sa montre marquait 00.30AM. Il positionna son poste-radio sur le canal des recherches et tous les trente minutes téléphona au responsable pour connaître l'avancement des recherches.

L'avion du FBI avait quitté l'aéroport JFK vers 20.30PM pour un vol de une heure. Environ trente minutes après le décollage l'appareil s'était mis à tanguer et piquer du nez, le pilote avait pu redresser mai savait qu'il ne pourrait se rendre à destination. Il prépara les passagers à un atterrisage d'urgence. Il trouva une clairière et tenta de poser le jet privé.

À la frontière de l'État de New-York et de la Pennsylvanie, Jack fût pris en chasse par une auto-patrouille du State Border Police. Il roulait à 180km/h alors que la limite permise est de 100km/h. Rien ne pouvait le stopper. Le State Trooper avait demandé du renfort et plusieurs véhicules le pourchaissait maintenant.

La zone de dégagement n'était pas suffisante. Après s'être posé, l'avion roula la clairière abattit des arbres et s'arrêta contre un. Les cinq passagers et deux membres d'équipage furent secoués.

Jack s'arrêta après quinze minutes d'une poursuite folle. Les policiers lui intimèrent l'ordre de descendre de sa voiture et de s'étendre par terre les bras en croix. Alors que ceux-ci s'approchaient il déclina son identité et les informa qu'il portait une arme sur lui. Les policiers avancèrent prudemment. Alors que trois policiers le mirent en joue un autre procéda à une fouille et à son identification au moyen de son badge.

Sue sentit la langue de Lévi sur son visage, elle ouvrit les yeux. Depuis combien de temps était-elle là? Elle se leva et retomba pris par des étourdissements. Lévi, toujours à ses côtés, posa son museau sur genoux. Elle se tâta et tout doucement essaya de bouger ses membres et ses doigts. Tout fonctionnait. Sa vision était embrouillée, du sang lui coulait du front. Elle fît une tentative pour se relever.

Jack expliqua la situation aux agents. Il put repartir après la mise en garde habituelle. Les policiers lui offrirent une escorte qu'il déclina. Il se remit en route dans un nuage de fumée et une senteur de caoutchouc brûlé. Il n'omis pas de placer son gyrophare sur le toit. Il s'informa des recherches. Aucun résultat. Sa montre indiquait 04.00AM.

Elle tenait sur ses jambes mais ses mouvements devaient être lents et prévus. Un léger roulis accompagnait chacun de ses pas, conséquence de sa blessure à la tête. Elle vérifia l'état de ses compagnons d'infortune. Lévi n'avait aucune blessure et était bien éveillé. Sam Heller, jeune homme de 24 ans, préposé au communication, n'avait plus de pouls. Elliott Downey, 37 ans, analyste criminologiste, n'était plus de ce monde tout comme Walter Zimmer, 44 ans, adjoint de William Hackford.

Il pensait à cette fin de semaine où Sue lui avait soutiré l'aveu de son amour. Comme elle le comprenait et savait lui faire faire n'importe quoi. Oui, Jack Hudson, elle te manipule à sa guise, mais comme c'est bon se disait-il. Et encore, il y a à peine quelques heures, la soirée était douce, il la tenait dans ses bras. «Mon Dieu, faites que je la retrouve vivante. Ma vie ne fait que commencer avec elle à mes côtés.» prononça-t-il à haute voix.

Sue cherchait le dernier passager. Elle le trouva étendue sur le sol entre les sièges. Il était inconscient et ses signes vitaux étaient faibles. Elle alla vers le cockpit, aucune trace de vie pour le pilote et le co-pilote. Elle revînt sur ses pas dans la cabine. Elle tenta de dégager le corps inerte de William Hackford. Après plusieurs minutes et avec l'aide de Lévi elle réussi à le sortir de sa fâcheuse position et à sortir de l'appareil.

05.30AM. Jack se gara près d'une pompe à essence pour faire le plein. Il en profita pour prendre un café et un indigeste sandwich qu'il mangea en route. Il n'aurait de repos avant d'avoir retrouvé sa bien-aimée. Bientôt vingt-quatre heures qu'il était levé.

Épuisée, elle s'adossa à un arbre pour reprendre son souffle et se reposer. «Jack, j'ai besoin de toi.» se dit-elle. Elle fouilla dans la poche de son manteau pour prendre son blackberry, il n'y était pas. Elle retourna à l'avion. "Je l'ai sans doute perdu dans la commotion lors de l'attérissage." Elle entra dans la carlingue éventrée et le trouva. Il était fichu. Elle se laissa tombé sur un siège et pleura en désespoir. Lévi voulait la tirer de son siège et faisait toute sorte de geste pour la faire sortir. Elle ne comprenait pas ce que voulait Lévi. Une odeur d'essence parvînt à ses narines. Un déclic se fit dans sa tête. «C'est pour cela que tu t'énerve Lévi. Allez viens il faut sortir.» lui lança-t-elle tout en se levant. Elle se dépêchait à atteindre une sortie quand tout à coup une explosion secoua et embrasa l'appareil.

À suivre!!!........

Merci pour cette suite Gerard .
ILS n'ont vraiment pas de change nos deux tourtereaux quel

Mais quelle poisse c'est pas vrai !!!!!! Mercipour cette suite très attendue !!!

POUR TOUS CEUX ET CELLES QUI VEULENT ENTENDRE LA VOIX ORIGINALE DE RICK PETERS, MERCI D'ALLER DANS LE TOPIC "RICK PETERS"'

ah non moi jsuis pas du tout d'accord!!!
C'est trop pas juste!!! :( :( :( :(
T'as interêt à laisser Sue en vie et à la remettre avec Jack parce que sinon, on va pas être copain tous les deux!!!

Bon ça va, je rigole!!! (à moitié quand même )
Sinon toujours aussi bien écrit même si les évènements ne me plaisent pas tant que ça...

Vite vite la suite!!!

I can't wait!

On est tous dans les pédagogiques!!!

très heureuse d'avoir lu un autre bout de ton histoire...Toujours bien écrit et c'est super intéressant de te lire...

J'ai bien hâte de voir la suite....

Bonne soirée...

Maria-Maude

Pareil g hâte de lire la suite

L'aventure se poursuit.

Elle se retrouva contre le sol. Le souffle de l'explosion l'avait atteint alors qu'elle mettait le pied hors de l'appareil. Elle n'était que secouée par son attérissage au sol. Son genou gauche avait frappé lourdement le sol. Lévi n'avait rien, il avait sauté avant l'explosion. Elle boita vers Hackford. Celui-ci était toujours inconscient et son pouls faiblissait. Elle grelottait de froid et l'humidité la transperçait jusqu'aux os.

Le colonel, Turner, responsable des recherches entra en communication avec Jack via le poste-radio. «Agent Hudson, des sauveteurs m'ont rapporté avoir entendu le bruit d'un explosion.»

Jack: À quelle distance sont-ils des lieux de l'accident?
Turner: Je vous dirais environ une heure.
Jack: Bien. Tenez-moi au courant s'il y a de nouveaux développements.
Turner: C'est entendu.

Jack appuya sur le champignon, son véhicule rugît et bondit vers l'avant avalait des kilomètres d'asphalte encore plus rapidement. Sa mâchoire se crispa signe de stress et de crainte. Sur son cellulaire.

Jack: Hudson.
Margaret: Agent Hudson, j'appris pour l'Agent Thomas. Je suis désolée. Je suis à votre service.
Jack: Merci Margaret. Et c'est Jack non Agent Hudson. Pouvez-vous me faire parvenir, à Lock Haven, des vêtements et une trousse de premier soin pour des recherches en montagne.
Margaret: Sans aucun problème. Tu penses être là à quelle heure?
Jack: Dans quarante-cinq minutes environ.
Margaret: Le tout y sera. Autre chose?
Jack: Pourriez-vous prendre contact avec mon propriétaire? Son téléphone est au début de mon agenda sur le bureau. Demandez-lui une clef de l'appartement et nourissez mes poissons.
Margaret: ~Surprise de cette demande~ Avec plaisir. ~Un petit sourire au coin des lèvres~

Sue ne pouvait transporter Hacford. Elle-même avait de la difficulté à se mouvoir avec un genou amoché. Elle décida d'aller chercher des secours. Regardant tout autour elle vit un sentier montant dans la montagne, elle s'engagea sur celui-ci. Faisant ainsi d'aller en direction opposée des secours qui progressait vers elle.

Jack stoppa son utilitaire sport et, au pas de course, se dirigea vers la tente où le QG était installé. Dès son entrée: «Je suis Jack Hudson qui est Turner?» Un homme grand, carrure militaire, d'une cinquantaine d'années s'avança. Il le regarda avec étonnement; Jack ne s'était pas changé il était toujours habillé en clochard. «Colonel Turner, enchanté de faire votre connaissance.» Les deux hommes se serrèrent la main. Ils se s'approchèrent d'une table ou des cartes topographiques de la région étaient étalées.

Elle progressait lentement dans le sentier Lévi à ses côtés. Celui-ci en pente ascendante et très rocailleux jumelé à un genou très endolori n'en rendait que plus difficile son avancée. Elle consulta sa montre. Près de douze heures depuis le crash. Elle s'appua contre un arbre et se laissa tombé doucement sur son séant. Elle frisonna. Lévi se plaqua contre elle pour la réchauffer. Elle porta sa main à son coup et toucha au penditif que Jack lui avait offert. Des larmes innondèrent ses joues.

Le colonel lui montra le lieux de l'écrasement et le briefa sur les derniers événements. Il ne pouvait se rendre par hélicoptère, la région était trop densément boisée, et les sauveteurs n'avaient pu être débarqués qu'à environ une heure de marche du crash pour les mêmes raisons.

Démetrius: Jack, c'est Dem, de bonnes nouvelles?
Jack: Je viens d'arriver au QG des recherches. Ils ont localisé le lieu de l'écrasement mais c'est difficile d'accès.
Démetrius: Tu vas la revoir saine et sauve, j'en suis certain.
Jack: Comment va Bobby?
Démetrius: L'opération s'est bien déroulée. Il va s'en sortir sans séquelle. Il le garde pour trois ou quatre jours.
Jack: Au moins une bonne nouvelle. Et Garrett?
Démetrius: Il est bougonneux mais ça va lui passer. Il a évacué toute sa colère contre un sous-fifre de New-York. Nous sommes tous avec toi. Si l'on peut être d'une quelconque utilité ne te gêne pas.
Jack: Merci, je n'y manquerai pas au besoin.
Démetrius: Nous prions pour Sue. Tu sais que nous aimerions être là et participer. Malgré son affectation elle fait toujours partie de nous.
Jack: Je comprends, ne vous en faite pas. Je dois aller à sa recherche.
Démetrius: Attend!! Lucy veut te parler.
Lucy: J'ai prévenu les parents de Sue. Ils arriveront plus tard dans la journée ici à Washington. Je pensais qu'il fallait mieux qu'ils soient ici et non là-bas.
Jack: Très bien pensé. S'il y a plus grave je vous aviserai.
Lucy: ~Des sanglots dans la voix~Il faut que tu me la ramène vivante, Jack.
Jack: Je t'en fais la promesse.

Il prit son sac à dos, changea ses espadrilles pour des bottes de montagne, un radio émetteur/récepteur (CB), une carte de la région et des provisions. Un hélicoptère l'attendait pour le transporter avec une autre équipe de sauveteurs.

Sue se réveilla. Elle mit quelques minutes à réaliser où elle se trouvait. Lévi était toujours sur elle servant de chauffage d'appoint. Elle reprit le sentier direction Nord-Ouest. Son instinct lui disait de poursuivre son chemin. Après une heure d'une marche lente, se dessinait une cabane en bois. Enfin une bonne nouvelle. Elle poussa la porte, celle-ci n'était pas vérouillée, une table avec trois chaises et un poêle à bois faisait office de cuisine. Un divan/sofa, un poste de radio et une bibliothèque tout près. Derrière une autre porte, un lit et une commode. Elle alluma le poêle pour avoir un peu de chaleur. Morte de fatigue, elle se coucha sur le lit.

Du haut des airs, Jack scrutait les environs et tentait de prendre des points de repère. Soudain dans ses écouteurs: «Ici équipe Zebra, nous avons atteint le site de l'écrasement.» Turner: «Ici le QG compris, je veux un rapport.» Zebra: «Nous avons trouvé un homme inconscient. Il y a eu un explosion. J'entre dans la carlingue, je compte cinq cadavres carbonisés.» Le sang de Jack se glaça. Turner: «Libellule 3 faite demi-tour, libellule 2, étant déjà sur place, s'occupera de ramener équipe Zebra et le blessé.» Jack: «NON, Turner ici Hudson, Avez-vous la liste de passagers et des membres d'équipage.»

Le suspense demeure entier. J'adore.
À demain.......

Merci pour cette suite Gérard, mais tu es méchant de nous laisser comme cela, sur notre faim

NNNNNNNNNOOOOOOOOOONNNNNNNN pas possible !!!!!!!!!

Merci pour cette suite !!! Gerard .
mais le suspence demeure tu nous laisse dans l"angoisse Gerard :(

ouf, c'est ce qu'on appelle un suspense!!!!!

Gérard, ca va nous prendre un très beau post de réunion pour nous déstresser! (surtout avec la semaine médiatique que je suis en train de passer!!!)

merci!!! pourquoi tu me fais ça nooooooooon
:no: :(

Pour faire plaisir à IcePrincess et un peu de suspense.


Discrètement Jack composa un numéro sur son portable. Turner: «La liste fait mention de 4 passagers et 2 membres d'équipage. Libellule 3 mission terminée.» Le pilote amorça un virage sur sa gauche pour revenir à la base. Dix minutes plus tard. Turner: «Libellule 3, changement de direction. Retournez au point de rencontre initial et laissez l'Agent Hudson sur le terrain. Pilote: «10-4. Terminé.» L'hélicoptère remontait dans le ciel, Jack lui faisant signe que tout était OK. Il pris quelques instants pour regarder la carte puis mis son paquetage sur l'épaule et se dirigea vers le Nord-Est.

Sue se réveilla en sursaut. Quelqu'un la touchait et lui parlait tout doucement, Jack était à ses côtés. Elle ouvrit les yeux puis rien. Elle avait fait un rêve personne autre que Lévi n'était présent dans la petite cabane. Pourtant tout semblait si vrai. Elle était en sueur et fièvreuse. Commençait-elle à avoir des visions et à délirer? Sa gorge était brûlante et sa langue épaisse, elle se leva, laissa couler l'eau du robinet et but à sasiété. Toute l'eau ingurgité ne calma pas sa gorge elle avait toujours soif.

Il marchait dans cette direction depuis environ trente-cinq minutes lorsqu'il vit un sentier pédestre montant dans la montagne, il s'y engagea. Il appela le bureau.

Jack: Lucy, Jack, est-ce que Tara est là?
Lucy: ~À voix basse~ Jack! Tu as de bonnes nouvelles? Garrett est dans le bureau discutant avec Tara.
Jack: Ah! Je vois. Non, mais je crois être sur une piste. Je vais demeurer en ligne.

Il en profita pour s'accorder un moment de repos. Il déposa son sac à côté de lui, son épaule le faisait souffrir.

Tara: Jack! Tara, désolée pour l'attente.
Jack: Ça va. J'ai un service à te demander. Tu es toujours en bon termes avec le gars de la NASA, celui qui s'occupe de la surveillance satellite?
Tara: Darren. Oui pourquoi?
Jack: Je vais te donner les coordonnées où je me trouve. J'aimerais qu'il fasse un balayage de la zone ...~Tara le coupa~
Tara: J'ai compris. Le satellite pourra repérer la présence humaine ou encore des abris. Je lui donne un coup de fil.
Jack: Merci.

Il se remis en marche tout en grignotant des biscuits et prenant des gorgées d'eau. Devant lui un embranchement, le sentier se divisait. Devait-il continuer tout droit, aller vers sa gauche ou sa droite? Son portable sonna.

Tara: Jack, Bingo. Selon le relevé effectué il y aurait un abris à environ sept kilomètres plus au nord de ta position. Darren dit qu'il faut continuer tout droit dans le sentier.
Jack: Tu es la meilleure.
Tara: Je le savais, mais c'est bon de l'entendre.
Jack: Et Bobby?
Tara: Il récupère très bien si j'en crois les jurons qu'il a émis lorsqu'on l'a informé de ta décision. Je dois mettre fin à l'appel Garrett entre dans le bureau. Bye et retrouve Sue.
Jack: Encore une fois merci. Bye.

Ces renseignements le revigora, il accentua la marche quelque chose lui disait qu'il était sur la bonne voie.
Elle était en proie à de gros frissons maintenant. Elle était assise sur le divan emitoufllé dans une couverture chaude. Lévi grimpa pour la réchauffer. «C'est bien mon chien» dit-elle en lui caressant la tête. Dix minutes plus tard elle lui intima l'ordre de descendre. Lévi ne comprenait plus rien. La fièvre était plus que présente et sa gorge toujours brûlante. Elle regarde dans le garde-manger à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent. Des boîtes de conserves et des biscuits remplissaient le garde-manger. Elle se sentait de plus en plus faible et n'avait qu'une envie: dormir.

Jack se rapprochait de l'abris, il distinguait maintenant la charpente. Il appela plusieurs fois le nom de Lévi sans réponse. Il continua à appeler. Les oreilles de Lévi se dressèrent. {Quelqu'un m'appelle? Mais qui? Je connais cette voix. Hé! C'est Jack.} Sa queue se balançait de tout côté. Il s'approcha de la porte et aboya. {Nous sommes là. Dépêche-toi Jack Sue est dans un sale état.} Jack s'arrêta. Il pensait avoir entendu un bruit venant de la cabane. Lévi aboyait de toute ses forces. Jack avait réussi. Il l'avait retrouvé. Les derniers mètres le séparant de Sue furent fait au pas de course. Il entra, Lévi lui fît une fête auquel il répondit, son regard parcourant l'intérieur à la recherche de Sue. Il s'approcha du sofa mis un genou par terre et lui toucha le bras. Elle était bouillante de fièvre. Il prononça son nom tout doucement. Sue ouvrit les yeux. Encore une vision pensa-t-elle. La voix se faisait insistante et Lévi tournoyait et jappait. Elle sentit des bras la prendre par les épaules pour la relever.

Elle réalisa qu'elle ne rêvait pas. Elle se jetta dans les bras de Jack. Une étreinte à leur couper le souffle suivi d'un baisier passionné. Jack la serra contre lui pour la rassurer, se rassurer. Puis comme lors d'une enquête, où il voulait savoir si elle n'avait pas de blessure, il lui toucha toutes les parties de son corps en lui demandant si elle vait mal quelque part. Elle repondit par la négative sauf pour la fièvre.

Il l'embrassa de nouveau et la serra dans ses bras. Gagné par l'émotion Sue se mis à pleurer. Il lui sécha les larmes avec son pouce. Le contact de leur peau apporta comme un courant électrique dans leurs corps. Jack, sans un pincement au coeur, cassa ce moment magique. Il la pansa et soigna.

Il nettoya l'entaille au front. Il versa le contenu d'une bouteille d'eau froide sur une serviette et l'appliqua sur son front et ses joues. Il lui donna des cachets d'aspirine et la fit boire. Elle devait maintenant changer de vêtements. Elle alla dans la chambre. Jack se précipita à l'appel de son nom. «Je suis trop faible, j'ai besoin d'aide» lui dit Sue. Il se tenait debout près du lit Sue était assise. Elle déboutonna son chemisier, Jack détourna le regard. Sue «Aide-moi à retirer les manches de mon chemisier.» Il s'exécuta en fermant les yeux. Sue retira en partie son pantalon; elle se coucha sur le lit souleva ses fesses et le fit glisser. «Tu peux tirer sur les jambes?» lui demanda Sue. Jack était mal à l'aise et détournait toujours le regard. «Jack ouvre les yeux et place toi devant moi» dit Sue. Jack: «C'est que...» «Regardes en ma direction je ne peux lire sur tes lèvres. Allons Jack, ce n'est sûrement pas la première fois que tu déshabilles une femme» dit Sue avec un sourire, ce qui augmenta la gêne de Jack. Il voyait ses formes pour la première fois. Il l'aida à se vêtir.

Tout en mangeant des sandwiches et des fruits, ils se racontèrent les événements. Sue lui raconta la détresse de l'avion, l'attérissage dans la clairière, la découverte des corps, l'explosion de l'avion et la découverte de la cabane. Elle se renseigna sur l'état de William Hackford. Jack lui dit que le dernier message reçu mentionnait un état grave mais qu'il était en vie. Jack lui conta le déroulement de l'opération et la blessure à Bobby. Son périple pour la retrouver. Il omis sa démission.

Ils devaient maintenant penser au retour. Il communiqua encore une fois avec Tara pour déterminer le meilleur pour reprendre contact avec la civilisation. Tara avait déjà tout plannifier. Pas très loin, environ quarante-cinq minutes de marche, une petite ville se dressait sur leur chemin. Jack lui demanda qu'une ambulance soit sur les lieux dès leur arrivée. Il l'a rassura quant à la santé de Sue, mais que par mesure de précaution elle devait être examinée.
Pendant que Sue dormait, il prépara le paquetage et traça l'itinéraire sur la carte. Sue le rejoignit passa ses bras à sa taille et l'embrassa dans le cou.

Jack: Assez en forme pour revenir de ce monde?
Sue: Ça devrait aller même avec mon genou amoché.
Jack: On y va et s'il le faut je te porterai.
Sue: Tu es vraiment mignon. Un dernier baiser avant le départ?
Jack: J'allais te le proposer.

Margaret avait récupéré les clefs chez le propriétaire. Elle donna à manger au poisson et fit le tour de l'appartement. Elle laissa tomber un objet et referma la porte.

Bye. À la prochaine.........

merci pour cette magnifique suite gérard !!!




euh je me suis permise de corriger certaines fautes j'espère que tu ne m'en voudras pas...

Merci pour cette manifique Gerard !!!!!
Attention à Magareth !!!! Les pépins vont arriver

Non tu crois Sabine !!!! Mais j'espère que Sue passera outre et qu'elle gardera confiance en Jack !

Merci Gérard d'avoir pensé à moi! J'en ai besoin cette semaine! J'ai une semaine de fou au travail! Pensez au sujet chaud à la télévision cette semaine au Québec et vous allez comprendre!

Un court passage. Je travail à midi. Si j'ai le temps, les chanceuses de la France auront une autre partie pour le petit déjeûner samedi matin.

À l'hôpital Sue passa un examen complet, le bilan n'était pas alarmant. Une entorse au genou, trois points de suture pour renfermer la plaie au front et prise d'antibiotiques pour contrer la fièvre résultat de l'infection. Prescription du médecin: trois semaines de repos.

Elle décida des passer ces trois semaines à Washington. Lucy était plus que contente de retrouver sa colocataire. Quant à Jack il était aux anges en imaginant toutes les belles soirées en perspectives.

Devant le 935, NW Pennsylvania Avenue, à Washington, D.C. (J. Edgard Hoover Building):

Sue: Cela me fait tout drôle de revenir ici.
Jack: J'en connais qui vont être heureux de te revoir.
Sue: Si l'on entre ensemble, les autres vont encore te taquiner.
Jack: Je leur ai promis de t'amener, Alors? Et puis, nous ferons comme d'habitude: la négation.

Jack jetta un regard à la ronde et avant d'entrer embrassa Sue. Il se dirigèrent vers le poste de garde, formalités obligent. Le gardien reconnut Sue et la salua cordialement. Ils signèrent le registre d'entrée. Sue épingla sa carte d'identité au revers de sa poche-veston; Jack fît de même avec avec une carte de visiteur.

Ils entrèrent discrètement dans le bureau demeurant sur le pas de la porte. Toute l'équipe était présente et chacun bossait dans des dossiers dans un calme olympien. Lévi aboya ce qui les firent sursauter. «Méchant chien, on ne dérange pas des agents en plein travail»Sue en réprimandant Lévi. {Quoi, je veux des beignets comme collation} Lévi avait bien raison l'heure de la pause avait sonné, l'horloge marquant 10.30AM. Six paires d'yeux regardèrent en direction de la porte. Une explosion de joie retentit se répercutant sur l'étage au complet.

Lucy, la plus près de la porte, sauta au cou de Sue et l'attira vers le centre de la pièce. Tara se leva et couru en sa direction. «Hé, Lévi, mon vieux copain» dit Bobby en les rejoignant. Myles lança une de ses tirades habituelle et termina: «Je suis heureux de laisser ce vil travail de bureau pour quelques instants.» Démetrius, quoique plus discret, n'était pas moins heureux de la revoir. Une personne se tenait à distance observant la scène. Elle s'avança lentement. «Bonjour, je me présente Agent Spécial Margaret Drysdale» en tendant la main vers Sue. Sa présentation était très hautaine. «Agent Spécial Sue Thomas, enchantée» répondit du tac au tac et froidement Sue. Elle ne se quittèrent pas des yeux, tels deux rivales se jaugeant. Un mélange de Myles, par ses gestes théâtraux, et d'Allie par sa voix et son regard se dit Sue. Une banlieusarde arrivant en ville, tenue vestimentaire quelconque, son chien attire l'attention sur elle et blonde en plus se dit Margaret. Tous avaient senti un air glacial envahir l'endroit. Jack était en retrait derrière Sue, près de Lucy.

Sue: ~Pointant l'abdomen de Bobby~Ça va?
Bobby: Juste une égratignure. J'ai les bons soins d'une infirmière.
Myles: À ce que j'en sais son infirmière particulière a de la difficulté avec lui. ~Tournant son regard vers Tara.
Bobby: Je vois que tu nous ramène notre Jack. Il était temps qu'il réintègre l'équipe. Un moment d'égarement sans doute.

Sue avait lu sur les lèvres de Bobby, mais elle ne comprenait pas où celui-ci voulait en venir. Jack et Lucy faisait de grands signes, elle ne sait rien encore de ma démission, en direction de Bobby. Cette dernière se tourna vers Jack. Jack fût assez vif pour cacher ses mains en les passant dans ses cheveux. Sur ce Garrett entra dans le bureau attiré par tout le boucan.

Garrett: Voulez-vous bien me dire ce qui se passe ici? On vous entend des kilomètres à la ronde.

Tous s'écartèrent, rejoignant leurs bureaux comme des enfants d'école. «Veuillez les excuser, Monsieur, je suis la cause de ce brouhaha» dit Sue en tendant la main vers Garrett.

Garrett: Mademoiselle Thomas, Je suis content de vous revoir. Pas trop de mal à ce que je vois.
Sue: C'est réciproque Monsieur. Il faut croire que mon heure n'était pas venue et qu'IL ~levant les yeux vers le plafond~ veille sur moi.
Garrett: Passez à mon bureau avant de quitter. Je dois voir Monsieur Hudson pour l'instant.

Garrett s'en retourna vers son bureau suivi de Jack sur ses talons. Sue était à la machine à café Lucy s'approcha. «Je suis contente. Cela va me faire penser au bon vieux temps. Shopping et soirées de filles pendant trois semaines.» Bobby alla les rejoindre. Sue: «Que voulais-tu dire tantôt, Bobby, à propos de Jack?» Lucy et Bobby se regardèrent.

Lucy: Bien voilà, mais jure-moi de rester calme.
Sue: Tu m'inquiète, allez parle.
Lucy: Dis je le jure.
Sue: OK, je le jure.
Lucy: L'équipe ainsi que Garrett avons rejoint Jack à New-York dès que celui-ci nous informa que la mission avait mal tourné et que Bobby était sérieusement blessé. Démetrius lui a appris pour l'accident d'avion.
Sue: Et alors?
Bobby: Jack a demandé de prendre ses congés accumulés et une absence temporaire ce que Garrett lui a refusé. Comme il était blessé, il a changé sa requête pour un congé blessure, Garrett refusa encore.
Sue: J'ai peur d'entendre la suite.
Lucy: Rappelle-toi ta promesse.
Sue: Allez continuer. ~Sue devenait impatiente.~
Lucy: Jack lui a remis sa démission sur le champ et remis son arme et son badge. Il l'a griffoné sur un bout de papier et a apposé sa signature.
Sue: Il n'a pas fait ça? Le FBI c'est toute sa vie.
Bobby: Il faut croire qu'il y a une personne encore plus importante.

Sue était abasourdie par ce qu'elle venait d'apprendre. D'une part cela lui montrait le sérieux de sa relation avec Jack et d'autre part elle s'en voulait d'être la cause de son départ. Elle quitta la pièce pour se réfugier dans la salle de conférence.

Bobby: J'ai fais une belle boulette.
Lucy: Ne te tracasse pas trop. ~Serrant Bobby dans ses bras.~ Je lui laisse un moment puis j'irai la rejoindre.

Tara se servant un café. «J'ai manqué quelque chose. Vous avez un tête d'enterrement.»
Bobby: Je me suis mis les pieds dans les plats.
Lucy: Jack n'avait encore rien dit à Sue pour sa démission. Bobby et moi venons de le faire.

Margaret: ~En direction de Myles~ Que se passe-t-il? Il y a eu la joie avec le retour de l'enfant prodigue et maintenant la tristesse.
Lucy: ~Ayant entendu Margaret~ Ce n'est pas bien de se mêler de ce qui nous regarde pas. ~Sur un ton n'admettant aucune réplique et avec un de ses regards~
Myles: Vous avez entendu, alors bouclez-là.

Ce n'est qu'un au revoir

Sabine,

Je suis une journée en retard, mais je te souhait un joyeux anniversaire.

Bisous amicaux.
xxxx
Gérard

vraiment géniale ta suite gerard un tres grand merci

Super ta suite Gerard !!!
Myles a tres bien repondu a Magareth :geek:
Merci et ce n'est pas grave
Amicalement Sabine

merci pur cette suite et quand je disais que je ne la sentais pas cette Margaret ! Si j'avais son visage, je crois que je ferais une de mes spécialités : "Cible à la Margaret" !!!! :geek: :geek: :geek:

J'ai réussi à me libérer et vous pondre cette courte suite. Que vous êtes chanceuses!

Garrett: Comment va cette épaule?
Jack: Toujours une peu sensible, mais ça ira.
Garrett: Est-ce que trois semaines irait pour la guérison?
Jack: Je crois bien.
Garrett: ~Tendant un bout de papier à Jack~Reprenez cette feuille et déchirez la.
Jack: Vous l'avez conservée. Vous ne l'avez pas fait suivre au service du personnel.
Garrett: Je passe la main pour cette fois. ~Fouillant dans un tirroir~ Et reprenez-moi votre arme et votre badge.
Jack: Merci Monsieur.
Garrett: N'oubliez pas. Trois semaines et pas un jour de plus. Maintenant sortez j'ai du travail.

Lucy alla voir dans la salle de conférence. Sue était debout près de la fenêtre regardant au loin. Lévi la prévient de la présence de Lucy.

Lucy: Ça va ma grande?
Sue: Pourquoi il a fait ça?
Lucy: Je ne peux répondre à sa place. Il faudrait lui demander. Mais je te dirais qu'il s'agit d'une indice de plus de son amour.
Sue: S'il te plaît ne commence pas avec ça.
Lucy: Si tu veux ajouter la cécité comme autre handicap, libre à toi.

Jack était revenu dans le bureau. Sue n'y était plus et chacun avait repris le boulot. Il s'approcha de Lucy. «Tu sais où est Sue?» «Elle a quitté pour l'appartement.» «Bien je vais y aller à mon tour.» «Jack, attend. Elle sait pour ta démission.» «Je vais faire un détour par ton appartement.»

Jack était devant Sue sur le palier de la porte de l'appartement. Il nota un changement d'humeur et ne fit aucun geste pour l'attirer à lui et l'embrasser.

Jack: Tu me laisse entrer?
Sue: ~S'écartant pour lui céder le passage et le menant au salon~ Tu prendrais un café ou un jus?
Jack: Un café, merci. ~Il l'a suivi dans la cuisine~ Tu veux me dire ce qu'il y a?
Sue: C'est plutôt à moi de le demander. Tu comptais me le dire quand? ~D'un ton fâché pour ces deux phrases~

Elle était demeurée près de la cuisinière. Il combla l'espace, lui releva la tête et la pris dans ses bras. Elle ne lutta pas, elle se laissa aller. Après un instant Jack repris la parole.

Jack: Je ne pouvais attendre et rester à rien faire les bras croisés. J'ai demandé à prendre mes congés accumulés et un congé blessure ce qui m'a été refusé. Je devais être là pour la femme que j'aime. Je n'avais que cette solution.
Sue: Jack, le FBI c'est toute ta vie. Tu comptes faire quoi maintenant?
Jack: Prendre trois semaines de vacances avec une jolie blonde et son chien.
Sue: Je suis sérieuse Jack.
Jack: Moi également. Je pourrais me remettre à bosser comme avocat ici ou à New-York.
Sue: Je ne peux te laisser faire ça.
Jack: Pourquoi, tu m'as déjà dis que j'aurais fait un excellent avocat.
Sue: Je te le répète le FBI est toute ta vie.
Jack: Non, tu es toute ma vie. [Tu es toute ma vie]

Cette dernière phrase la toucha énormément. Aucun autre homme ne lui avait parlé ainsi. Il l'aimait pour vrai, elle pouvait le sentir dans son langage et ses gestes. L'émotion la gagna, elle l'embrassa.

Sue: Demain, j'irai voir Garrett et lui ferai comprendre.
Jack: Tu n'auras pas à le faire. Il n'a pas accepté ma démission, c'est pourquoi il voulait me parler.
Sue: Alors tu t'es moqué de moi depuis ton arrivée?
Jack: Non, tout est vrai, les vacances compris. S'il le faut je retournerait à la pratique du droit. [J'ai parlé avec mon coeur]
Sue: [Je le sais, Tu es aussi toute ma vie]

À samedi... Bonne nuit ou bon matin (selon votre fuseau horaire)