Sue goes to New-York

Ninou
Excuse moi pour la gafe
Mais on etait deux à le savoir ce que c' etait!!!!!

Non les filles ont est même trois à le savoir.
Je le savais mais je voulais pas le dire.

ho

Mimi22!!!! excuse moi alors bienvenue au club

Je mettrai un autre post tard dans la soirée ce dimanche. Merci de me lire et pour vos commentaires. Cela me touche énormément.

Mars

Il n'y avait pas de vacances pour les truands. Les affaires se présentaient et étaient résolues. La plaisanterie, au bureau quoique différente, était toujours présentes, mais tous manquait sa présence. Plus d'un mois s'était écoulé depuis que Sue avait quitté. Lucy et Tara discutaient de leur dernière visite à New-York. C'était une journée particulièrement éprouvante pour Jack non seulement il avait rêvé, la nuit dernière, à Sue; mais encore il revenait de la salle d'interrogatoire avec une humeur massacrante, il n'avait rien tirer du dernier suspect. Lucy et Tara parlaient à Bobby de leur dernière visite à Sue. De la soirée vidéo en pyjama suivi des des événements du mois écoulé et de la vie de chacun. Elles continuèrent sur la vie nocturne de New-York et des beaux mâles faisant partie de l'équipe de Sue. Les oreilles de Jack se dressèrent.

Tara: Est-ce que William et Sue sont proches?
Lucy: Je ne suis pas certaine mais d'après ce que me dit Sue il semble avoir une ''connection'' entre eux.

Rien pour chasser la mauvaise humeur de Jack, bien au contraire. Il se leva avec fracas, ce qui fit sursauter Tara. Il mis son veston, pris son imper et sans désserrer les dents les salua au passage.

Tara: Qu'est-ce qu'il lui prend?
Lucy: Je crois qu'il en entendu la partie concernant William et Sue.
Tara: Ah!...je vois.

Il erra dans les rues et tard dans la soirée il rentra, alluma la radio et déposa son imper trempé sur le dossier d'une chaise. Ile se laissa tombé lourdement sur le divan. Fixant le vide les coudes appuyés sur ses genoux les paumes de ses mains chaque côté de sa machoîre. Il poussa un long soupir et murmura: «Maudit, elle me manque tellement.»

I can take the rain on the roof of this empty house
That don’t bother me
I can take a few tears now and then and just let them out
I’m not afraid to cry every once in a while
Even though going on with you gone still upsets me
There are days every now and again I pretend I’m ok
But that’s not what gets me

Il se remémorait les ocassions ratées d'avouer ses sentiments à Sue. Que ce soit par manque de courage ou encore par l'intervention des membres de l'équipe. Après sa crise cardiaque, à l'hôpital, alors qu'elle était à ses côtés. Il était résolu à lui parler la pochaine fois qu'il la verrait. Comme il s'avançait, Allie était apparut, et une opération en cours requerra leur attention. Ou encore lorsque l'infirmière mis Sue à la porte de la chambre avant qu'il ne puisse lui avouer ses sentiments. Autre moment raté, lorsque Jack tenta d'expliquer la réapparition soudaine d'Allie dans sa vie. Sue lui avait répondu: «J'espère que tout ira comme tu veux.» Alors que ce qu'il voulait c'est Sue à ses côté.

What hurts the most
Was being so close
And having so much to say
And watching you walk away
And never knowing
What could have been
And not seeing that loving you
Is what I was tryin’ to do

Une semaine environ après le départ de Sue, Tara et Stanley s'étaient séparés. Bobby avait annoncé que sa relation avec Darcy, déménagée à Los Angèles, était terminée. Jack avait espéré que les changements dans la vie de ses amis masquerait sa douleur de la perte de Sue aux autres membres de l'équipe. Jack était dans l'erreur. La nouvelle situation a permis à Tara et Bobby de se trouver des affinités et une romance est née entre eux. Le coeur de Jack saigna encore plus et sa misère ne fut que plus apparente.

It’s hard to deal with the pain of losing you everywhere I go
But I’m doin’ It
It’s hard to force that smile when I see our old friends and I’m alone
Still Harder
Getting up, getting dressed, livin’ with this regret
But I know if I could do it over
I would trade give away all the words that I saved in my heart
That I left unspoken

Jack se laissa tomber sur le dos. Il pensa a une autre fois où il aurait pu parler avec Sue. Elle s'était rendu au parc, où il avait l'habitude de faire son jogging, pour s'excuser d'avoir flirté avec Tony et ne ne pas l'avoir écouté lorsqu'il lui avait dit que ce dernier n'était rien d'autre qu'un don Juan de pacotille. Puis l'un et l'autre se sont demandés s'il y avait quelque chose d'autre à ajouter. Il avait répondu par la négative trop rapidement. Il aurait voulu lui avouer sa jalousie et son agacement face à l'intérêt qu'elle avait démontré envers Tony. Enfin comme il s'en voulait à lui-même parce que Tony avait réussi en un seul jour à avouer ses sentiments alors que lui après bientôt trois ans était toujours incapable de le faire.

What hurts the most
Is being so close
And having so much to say
And watching you walk away
And never knowing
What could have been
And not seeing that loving you
Is what I was trying to do

Autre moment. Le jour où il était allé faire son jogging dans le même parc où Sue faisait promenade avec Lévi. Elle avait utilisé le terme ''rencontre fortuite'' en le voyant. J'aurais du lui demandé «et s'il est» dit-il à haute voix.

What hurts the most was being
so close
And having so much to say
And watching you walk away
And never knowing
What could have been
And not seeing that loving in you
Is what I was trying to do

La dernière nuit avant le départ de Sue, il fut éveillé toute la nuit. Il ne pensait qu'à son départ et à sa dernière chance de lui dire. Il repassait dans sa tête quoi et comment lui dire. Le lendemain lorsqu'il l'a rencontra dans le couloir, «Non attends et écoute ce que j'avais prévu de te dire, je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit avec tout ça et je ne voulais pas que tu t'en ailles sans savoir le fond de ma pensée. [...] Tu vas vraiment nous manquer à toute l'équipe et tu vas me manquer a titre personnel.», sont les seuls mots qu'il trouva. Toute la journée il essaya de lui dire ce qu'il avait prévu mais à chaque fois il interrompu. Sa frustration augmenta durant la journée et s'est Sue qu'il lui dit comment elle appréciait son amittié et que ça lui faisait chaud au coeur de savoir qu'il serait toujours présent. Son cerveau analysa les dernières paroles. Est-ce tout? Me voit-elle simplement comme un trèsbon ami? Rien de plus? Il n'était plus sûr de vouloir lui dire ce qu'il avait eu dans la tête toute la journée. Il avait peur de sa réaction. Il répondit «Je serai toujours là pour toi» et il ajouta rapidement «comme ami, bien sûr.» Il prétexta un rendez-vous et quitta. Il rentra directement à l'appartement et fixa le télévisieur complétement sonné.

Not seeing that loving you
That’s what I was trying to do

Le téléphona sonna à plusieurs reprises il ne décrocha pas laissant le répondeur prendre les messages. La sonnerie de cellulaire se fit entendre. Il n'avait que faire, mais un agent du FBI doit être rejoignable en toute temps.

Jack: Hudson.
Téléphone: Bonjour Agent Hudson.

Sa physionomie changea. Il se remis debout. Son ton de voix se fit plus doux.

Jack: Sue! Comment vas-tu? Un problème? Besoin d'aide?
Sue: Je vais bien. Et j'ai besoin que tu me rende un service. Toi la forme n'a pas l'air d'y être?
Jack: Tu connais une de ses journées où rien ne va. Que puisse-je pour vous?
Sue: Voilà. Une oeuvre de charité pour personnes malentendantes, dont je m'occupe depuis mon arrivée ici, offre une soirée pour levée des fonds dans trois semaines. Je me demandais si tu n'accepterais pas d'être mon cavalier pour cette soirée. Ça me ferais du bien de revoir un visage connu pour une fin de semaine.
Jack: ~Contrôlant sa joie~ J'accepte avec joie ton invitation.
Sue: ~Ses yeux brillent~ Il faut que je te laisse j'ai un rapport à remettre à la première heure demain matin. Bonne nuit.
Jack: Salut Lévi pour moi et bonne nuit.

Enfin une bonne nuit de sommeil pour Jack.

J'ai pensé à celles qui font des montages vidéos.

La chanson contenu dans mon extrait d'aujourdui pourrait peut être faire l'objet d'un montage. titre: What hurts the most; chanteur: Rascall Flatts.

à vous de juger.
À ce soir pour une deuxième partie.

thanks pour cette suite ............. et c'est encore la nana qui fait le premier pas En espérant qu'il fasse le 2ème !

tout a fait raison !!!! et merci gerard pour nous avoir donné le titre de la chanson citée dans ton fic !!!

tres belle suite !!!

Gerard tres belle suite !!!
Dommage que je ne sache pas lire lAnglais

Encore une autre partie géniale! Pauvre Jack qui est tout découragé! Je peux aller le consoler si vous voulez!!!!

Iceprincess Aurait tu son adresse petite cachotiere!!!!

Je vous laisse découvrir.


Le lendemain un nouveau Jack Hudson entra au travail. Il s'agit plutôt de l'ancien que ses amis retrouvèrent avec joie. Garrett se présenta avec un autre agent. Les yeux se tournèrent vers la porte. Bobby et Myles se redressèrent sur leurs chaises alors que Jack nota à peine l'arrivée du superviseur.

Garrett: Votre attention, s'il vous plaît. Je vous présente l'Agent Margaret Drysdale. Elle fera équipe avec vous Agent Hudson.
Bobby: Toujours le même chanceux.
Garret: Agent Manning, laissez-moi terminer. Je disais donc qu'elle est votre nouvelle coéquipière Agent Hudson. Je compte sur toute l'équipe pour faire en sorte que l'Agent Drysdale se sente comme chez elle. Je ne vous dérange pas plus longtemps, au revoir.
Des voix: Bien Monsieur, nous ferons le nécessaire.

Margaret resta au centre de la pièce. Bobby la reluqua et mentalement en fit la description. 1,67m; 54,5kg; cheveux long roux; yeux verts, âge environ 28 ans.Beau brin de fille. Les agents se levèrent et Tara alla à la rencontre de la recrue. Elle fit les présentations.

Tara: Enchantée. Voici Lucy Doston, opératrice de saisie. Démetrius Gans, Bobby Manning, Myles Leland troisième du nom et Jack Hudson tous agents sur le terrain. Je suis l'Agent Tara William, experte informatique.
Margaret: Heureuse de faire votre connaissance.

Myles s'avança et lui indiqua son bureau. La pièce avait été rafraîchi depuis le départ de Sue. Les mûrs repeints, un nouvel équipement informatique et un réaménagement de l'espace de travail. Le bureau de Sue, l'endroit où il se trouvait, n'existe plus. Par respect pour elle et pour ménager la suceptibilité de Jack, ils avaient convenu de ce réaménagement. Bobby s'avança vers Jack et tout bas. «Veinard, tu te retrouves avec les plus jolies.» «Les hauts dirigeants savent reconnaître le meilleur instructeur» répondit-il avec un sourire. Bobby avait remarqué le changement d'attitude de Jack; «Est-ce ta nouvelle partenaire qui te rend aussi joyeux?» Jack: «Ne commence surtout pas.» «Tu as remarqué tout de même qu'elle était très bien?» «Je ne m'attarde pas à ce genre de futilité moi» fit-il comme réponse. «C'est vrai j'oubliais que le coeur de monsieur se trouvait à quatre cents kilomètres d'ici.» en parlant à Jack avec son plus beau sourire. Jack s'éloigna et lui lança «Tu ne changeras jamais, le démolisseur.»

Tara lança des yeux noirs à Bobby. Elle n'était pas dupe de son manège et avait bien vu la façon dont Bobby regardait Margaret. Lucy, pour qui, le changement d'humeur de Jack semblait suspect pusqu'il coïncidait avec l'arrivée de Margaret, se demandait s'il n'y avait pas anguille sous roche. Elle qui protégeait toujours les intérêts de Sue, se rua sur le téléphone.

Lucy: Sue as-tu deux minutes?
Sue: Qui a t-il, Lucy ta voix n'est pas comme à l'accoutumé?
Lucy: Une nouvelle agent vient de se joindre à l'équipe. Ne t'inquiète pas j'ouvre l'oeil et Tara et moi nous nous mettons sur le coup pour dénicher d'où elle sort.
Sue: Je n'ai pas à m'inquiéter.
Lucy: Allo, toi à New-York Jack ici et cette fille dans le décor.
Sue: Jack et moi ne somme que des amis. Au revoir.
Lucy: Comme je te le disais, je demeure aux aguets et dès que j'en sais plus long je te rappelle. Bye et fais attention à toi.

Sue raccrocha et pendant un instant un doute envahi son esprit. Ce peut-il que Jack? Elle se rappela leur dernière conversation. Elle chassa cette pensée et se remit au travail.

Lucy attira l'attention de Tara et les deux se retrouvèrent près de la machine à café. Elles parlaient à voix basse tout en jettant des coups d'oeil autour pour être certaines de ne pas être entendues.

Lucy: Il faut absolument se renseigner sur la ''rousse''.
Tara: Tu as raison et je n'aime pas la manière que Bobby et elle se regardent. Si je te comprend bien il faut connaître son pedigree complet.
Lucy: L'opération ''Barberousse'' est lancée.

Les garçons partirent avec Margaret pour le lunch afin de faire plus ample connaissance et faire le tour des dossiers actifs de l'unité. À leur retour, tous rièrent et un esprit de franche camaderie semblait installé. Ce qui eut pour effet d'accentuer la grogne de Tara et Lucy. Ces dernières avaient convenus de se retrouver chez Lucy après le travail pour faire mettre en commun le résultat de leurs recherches.

Lucy: Tammy du service du personnel m'a permis de consulter son ficiher. Diplomée de droit avec la mention maxima cum laude de la prestigieuse université d'Oxford. Première de sa promotion à Quantico. Affectation précédente à San Diego.
Tara: Elle est la fille de Barney Drysdale, magnat des lotteries, à un frère plus jeune, Jeffrey, conseiller financier d'une firme d'investiment en Angleterre. Elle serait très ambitieuse et ne viserait rien de moins que d'intégrer le 'Special Service' (le service qui s'occupe de la protection rapprochée du président des USA).
Lucy: Selon une rumeur, elle aurait quitté San Diego suite à une liaison extra-conjugale avec un de ses supérieurs et se serait fait avorter. D'autres rumeurs parlent qu'elle serait très connue de la gente masculine des services du FBI sur la côte ouest.
Tara: Je vais avoir Bobby à l'oeil. Des deux yeux devrais-je plutôt dire.
Lucy: Et moi, Jack, pour le bien de Sue. Je ne manquerai pas de la mettre au courant concernant sa remplaçante.

Les jours s'écoulèrent et nos des louves surveillaient attentivement 'la rousse' comme l'avait baptisé Lucy. Elles faisaient en sorte que ni Bobby ni Jack, autre que professionnellement, ne se retrouvent seul avec elle.

Vendredi 23 mars
18.30PM
Aéroport JFK (New-York)

Sue attendait avec impatience l'arrivée de Jack. Elle scrutait la moindre personne qui passait par la porte où Jack devait sortir. Puis elle le reconnut, son coeur se mit à battre plus fort, elle lui envoya la main tout en criant son nom. Il dirigea son attention vers la voix et s'avança vers elle. Bientôt il aperçu Lévi dont la queue frétillait. Il sauta sur Jack qui pour le remercier de l'acceuil lui frotta la tête. Ils étaient face à face, chacun souriait, mais ne savait que faire. Jack déposa ses bagages par terre, enlaça Sue et l'embrassa sur chacune de ses joues. Elle fut surprise mais rassurée. Ils prirent le chemin de l'appartement. En route Jack, lui toucha le bras ~elle frisonna~ pour indiquer qu'il voulait lui parler, il lui demanda s'il elle voulait manger une pizza. Elle ria et lui dit: «J'ai pensé nous faire un repas maison.» «D'accord si je t'aide»lui fit savoir Jack. Elle hocha de la tête. Sue prit la main de Jack dans la sienne sans le regarder. Comme réponse il serra la main. Le trajet se poursuivit sans autre discussion. Chacun savourant l'instant présent et sachant que toute échange était inutile. Ils étaient réunis à nouveau il n'y avait que cela qui comptait.

Le souper fut tout simple. Des spagetthis avec une bouteille de vin. La conversation reprit comme s'il ne s'était jamais laissé. Lévi était couché dans le salon. De temps à autre il relevait la tête pour s'assurer que tout allaient bien entre nos deux amoureux.

Au moment du coucher, Sue aida Jack à étendre les drap sur le canapé du salon. Sue lui dit bonne nuit. Jack lui dit et signa bonne nuit. Elle fut touchée de son attention. Elle appela Lévi mais celui-ci ne bougeait pas. Il était couché sur le tapis devant le canapé trop heureux de retrouver son bon ami.

Samedi 24 mars
Au déjeûner

Ils parlèrent de la soirée qui venait. Elle lui redit qu'elle était heureuse qu'il ait accepter son invitation. Qu'il n'y aurait pas seulement des personnes malentendantes et qu'il ferait connaissance avec des gens qu'elle cotoyaient tous les jours à son travail. Donc pas de panique il serait dans son élément avec d'autres agents du FBI. Ils firent la vaiselle.

Après-midi

Lévi prenait sa marche dans un parc près de l'appartement. Jack et Sue marchait côte à côte. Lévi s'éloignait puis revenait vers eux, lui aussi était heureux.

Jack: Est-ce que Lévi prendrait un café avec beignet?
Sue: Il faudrait lui demander.
Lévi: Whouf!! {Ça c'est mon ami.}
Sue: Il veut bien des beignets toutefois il changerait le café pour une gamelle d'eau.
Jack: Sa maîtresse prendra le café. ~il tendit son bras à Sue~

À la soirée bénéfice

Sue était magnifique. Elle avait la même robe que lors de leur premier séjour à New-York. Jack en avait été soufllé. Jack avai revêtu un costume noir avec chemise blanche et noeud papillon. Il était au salon avec Lévi à ses côtés sur le canapé. Sue se présenta dans le salon avec une petit boîte dans les mains. Jack se leva.

Sue: Tu voudrais bien m'aider?
Jack: Bien sûr.~Il pris la boîte des main de Sue. ~Elle était toujours dans son emballage d'origine.~Tu devrais l'ouvrir.
Sue: Pris la boîte et ses yeux se remplir de larmes. C'est magnifique tu as fais une folie.
Jack: ~Il lui prit le pendentif des mains~Tournes-toi. ~Il lui mit autour du coup. Ses mains s'attardèrent un instant sur sa nuque.~
Sue: Je vais me regarder dans un miroir. ~Elle s'attarda pour pour savourer ce moment.~

À la table, les regards des hommes se tournèrent vers Sue. Les femmes se demandaient comment elle avait fait pour dénicher un homme comme Jack. Il prirent place et tous furent surpris lorsqu'elle présenta l'Agent Spécial Jack Hudson du bureau de Washington. Une fois le repas terminé la soirée commença. Jack demanda à Sue si elle voulait boire quelque chose. Elle lui demanda un verre de vin, il s'excusa et partit en direction du bar. Sue ne le quitta pas des yeux. (Tu n'as pas changé mon amour.)

Flashback

“Puisque tu m'as acheté aux enchères, le moindre que je puisse faire est de te demander cette danse.”

“Souviens-toi que je n'entends pas la musique? Je pourrais être dangereuse sur un plancher de danse.”

“J'aime vivre dangereusement.”

Son coeur a cessé de battre lorsque Jack lui avait demander de danser avec lui.


Elle était un peu décontenancé que Tara et Lucy est misée sur Jack en son nom sans lui en parler mais elle en était néanmoins heureuse.

“Je me suis dit que la danse ne pouvait être trop diffiicile pour quelqu'un qui jouait du piano, chantait et faisait du patinage artistique.''

“Tu sais ce que l'on dit. "Tout est dans la personne qui mène." Est-ce qu'Éleanor va bien?”

“Elle va s'en remettre.”

“Qu'a-t-elle dit?”

“Elle a été un peu embarassée. Elle m'a dit qu'elle ne savait pas pour nous.”

“Elle a dû se sentir soulagée lorsque tu lui as dit qu'il n'y avait rien entre nous.”

“Ce n'est pas tout a fait ce que j'ai dit.”

“Que lui as-tu raconté?”

“Je...enfin je lui ai dit que nous étions très proches, et que l'orchestre jouait notre chanson, et que je devais danser avec toi. Tu ne m'en veux pas.”

“Non. Mais quelle est cette chanson?”

“Je ne la connais pas,” lui avoua t-il timidement.

Sue promena son regard à la ronde prenant le pouls de la salle et la physionomie des danseurs.

“J'aime.”

Elle en avait été ravie. Ce moment avait été le plus beau et le plus doux de son existence. Jack avait été patient et prenant le contrôle de la situation. Et comme toujours ne la bousculant d'aucune façon. Elle était même heureuse qu'il est raconté une histoire à Eleanor, à savoir qu'ils étaient amants et que l'orchestre jouait leur chanson, même si elle ne pouvait entendre aucune chanson. Si seulement elle pouvait tenir Jack dans ses bras...

Fin du flashback

Jack déposa les boissons sur la table. «Sue tu viens danser?» Elle ne l'avait pas vu revenir et n'avait pas senti sa main lui toucher. Il lui toucha à nouveau. [Tu viens danser. C'est notre chanson.] Elle le suiva. Elle se laissa guider et mit sa tête sur son épaule. Jack respira à grandes bouffées ce parfum qui lui manquait. «Si tu savais comme j'en avais envie» dit Jack. Sue se détacha: «Tu veux me parler? J'ai senti une chaleur dans mes cheveux.» «Je m'excuse c'est le souper» répondit Jack en reposant sa tête sur son épaule.

Le reste de la soirée fut un conte de fée. Ils dansèrent beaucoup ce qui plut à Sue. Jack se mêlait bien aux invités et elle remarqua comment les autres la regardait. Elle était indifférente car elle savait que Jack lui appartenait et qu'il n'avait d'yeux que pour elle.

Il passa le 3.00AM lorsqu'ils rentrèrent. Jack retrouva le canapé avec son fidèle compagnon et Sue fit de beaux rêves.

Dimanche 25 mars
8.00AM

Jack était déjà debout avait remis le canapé en ordre et écoutait les nouvelles sportives. Il portait un bas de pyjama et un t-shirt. La sonnette de la porte d'entrée si fit entendre. Lévi se précipita vers la chambre, Jack n'avait pu le retenir, pour avertir Sue. Celle-ci enfila le pantalon de son pyjama elle dormait déjà avec le chandail de hockey; cadeau de Jack. Jack s'était levé et comme il allait ouvrir Sue arriva à ses côté suivi de Lévi. Il ouvrit la porte et ... les parents de Sue se trouvaient de l'autre côté. Sue: «Papa, maman?» Ces derniers furent surpris de la scène qui s'offraient à eux. Jack fut le premier à reprendre ses esprits et leur dit d'entrer.

Gerard !!!! pour cette suite elle est geniale

merci pour cette suite, tu écris vraiment hâte .............. mais qu'est ce qu'ils font tous les deux .ils ont passé l'âge de jouer au chat et à la souris !!!

merci pour cette magnifique suite gerard !!!

oh oh! je sens des problèmes à l'horizon!

Merci ses magnifique,je n'est même plus de mot.:silent:

AH si Lévi pouvait parler. Bonne lecture.

Sue embrassa ses père et mère tandis que Jack leur serra la main. «Je vous laisse le temps de m'habiller»fit Jack. «Quelqu'un prendrait du café» demanda Sue en se dirigeant vers la cuisine. Sa mère sur ses talons la suivit jusque dans la cuisine.

Mère: Excuse-nous d'avoir interrompu quelque chose?
Sue: Vous n'avez rien interrompu. Jack n'est qu'un ami, je te l'ai déjà dit à maintes reprise, et puis il a dormi sur le canapé.
Mère: Sue, tu me prend pour une idiote. L'image à notre arrivée parlait d'elle-même.

Sue revenant avec le plateau vers le salon où son père était demeuré.

Sue: Servez-vous.
Père: Joli appartement. Je reconnais ta touche. Ça te ressemble.
Mère: Le secteur semble hors de prix. Peux-tu te le permettre?
Sue: Maman, je ne suis plus une petite fille. Je sais compter.
Père: J'espère que l'on ne dérange pas?
Sue: Papa! pas toi aussi.
Mère: Tu as un beau bijou au cou. ~S'approchant pour mieux le voir.~ Ça doit valoir une fortune?
Sue: C'est un cadeau de Jack.
Mère: ~En se tournant vers son mari.~ Elle continue à dire qu'il ne sont que de bons copains.

Le père de Sue se contenta de regarder sa fille et de lui faire un sourire. Elle lui retourna son sourire l'air de vouloir dire ~merci de ne pas en rajouter. Sur l'entrefait Jack était de retour. En trente minutes il avait pris sa douche, s'était rasé et vêtu. Sue en profita pour faire sa toilette et respirer un peu.

Jack: Quel bon vent vous amène à New-York?
Mère: On pourrait vous retourner la question.
Père: Voyons chérie. Des amis à nous nous avaient invité pour le week-end. Nous repartons bientôt. Mon épouse tenait à voir l'endroit où vivait notre fille. Je lui avait pourtant dit d'appeler avant de venir. Je suis désolé.
Jack: Il n'y a pas de quoi. Sue avait une soirée et j'étais son cavalier.
Mère: L'absence de Sue vous manque?
Jack: C'est la première fois que l'on se revoit depuis sa promotion. ~Faisant en sorte d'éluder la question~

Sue revînt elle prit place à côté de Jack sur le canapé. «C'est gentil à vous d'avoir servi de cavalier à notre fille» dit madame Thomas relançant la discussion sur les amours de Sue. Cette dernière et son père levèrent les yeux vers le plafond. Jack sourit. Monsieur Thomas répéta la réponse donné plutôt à Jack et s'excusa de ne pas avoir téléphoné avant de venir. Sue savait qu'il s'agissait de sa mère. Jack sentant la tension proposa de les amener au restaurant pour le déjeûner. En effet, il s'agit du brunch du dimanche. À la sortie du restaurant ils se quiitèrent, les parents de Sue devant prendre la route pour retourner à la maison.

Sue: Merci pour avoir garder ton sang froid et ta maîtrise de la situation. Ma mère a un don pour me faire perdre mes moyens.
Jack: Ça m'a fait plaisir. Je suis agent du FBI ne l'oublie pas. Une promenade pour Lévi ça te dis?
Sue: Oui. Je n'ai pas envie de rentrer et la tépemrature est si belle.

Tout en marchant Jack avait posé sa main dans le creux de son dos, ce qui la réconforta grandement. Elle résista avec difficulté à la tentation de s'y appuyer plus profondément. À en croire Lucy, Jack l'aimait vraiment mais pour une raison qu'elle n'arrivait pas à comprendre il était incapable de lui avouer ses sentiments. Peut-être avait-il peur de s'engager parce qu'elle était sourde pensa-t-elle.

Jack eu le sentiment que l'humeur de Sue avait changé, il lui désigna un banc pour s'assoir. Il remarqua des larmes dans ses yeux. Il lui saisi le bras pour lui montrer qu'il voulait qu'elle le regarde. Toutefois Sue ignora le signe et ne leva pas les yeux vers lui, alors il lui a gentiment soulevé le menton.

«Hé...pourquoi ces larmes?» dit-il tout doucement. Il voulait l'attirer à lui et la prendre dans ses bras mais savait que ce n'était pas le moment.

Elle secoua la tête et ne disait rien.

Ses lèvres tremblèrent et des larmes innondèrent ses joues. Elle reprit son souffle comme Jack s'approcha pour effacer les larmes avec son pouce.

«Qu'est-ce qu'il y a Sue?» dis-le moi. Jack la regarda intensément et son estomac se noua.

Elle soupira et ferma les yeux. «Je ne peux m'empêcher de penser que si aucun avenir est possible entre nous c'est dû à ma surdité.»

Il serra la mâchoire de colère, au fur et à mesure que les mots prononcés par Sue atteignaient son cerveau. Il fit glissé ses main à ses épaules la secouant un peu pour avoir son attention. Elle ouvrit ses yeux toujours remplis de larmes. Elle cligna plusieurs fois des yeux afin de voir ce qu'il lui disait.

«Pourquoi penses-tu une chose aussi absurde?»

Elle haussa les épaules fixant toujours le sol. Jack soupira lourdement, son coeur saignait de voir Sue si mésirable. Il baissa sa tête jusqu'à ce que Sue le vît.

«Sue le fait de ne pas me répondre ne signifie pas que je cesserai de te le demander» ajouta t-il avec un léger sourire.

Elle ria doucement tout en reniflant. Elle essuya son visage du revers de la main. Je pensais à cela parce que cela arrive souvent tu le savais. Les gens supposent que puisque tu es sourde tu es aussi stupide. Plus facile à berner. Comme si ton cerveau ne fonctionne pas correctement puisque tes oreilles ne le font pas.

La colère envahit de nouveau Jack et il faisait de gros efforts afin de ne rien laisser paraître. Il s'accroupit devant elle et lui pris les mains.

"Sue, rien pourrait être plus faux. Tu es l'une des femmes les plus futées que je connaisse. La manière dont tu utilises ton instinct dans l'étude d'un dossier, tu es la meilleure. Et ton empathie envers les autres c'est quelque chose que l'on voit rarement chez les'agents.»

"Pourquoi ne serais-je pas intéressé?" Jack continua. "Tu es belle, futée, aimable. Tu rend les gens heureux autour de toi, tu me rend heureux. La manière dont tu t'occupes de nous, de moi, me rend heureux. Tu embrasses bien... " Jack s'est arrêté abruptement réalisant ce qu'il venait de dire. Les yeux de Sue étaient grand ouverts, elle avait peine à réaliser ce qu'elle lisait sur les lèvres de Jack.

"Je veux dire que... je dis seulement que... tu sais la couverture.... Je vraiment... tu sais que...je ne sais." Il a fait une pause, grimaçant à ses propres mots. Il a jeté un coup d'oeil vers Sue pour voir sa réaction.

Elle lui souriait, bon signe, pensa-t-il. Prenant uneprofonde respiration, il allait continuer. Sue l'arrêta en posant ses doigts sur ses lèvres. À ce simple contact, le temps s'arrêta, pour Jack.

"Jack....Merci.''

"Est-ce que le fait que je sois sourde te déranges?" Ses yeux cherchant dans son visage une réponse. ''Non!" répondit-il avec stupéfaction. "Pourquoi penses-tu une chose comme cela ..." "Mais tu ne fréquenterais quelqu'un qui serait sourd? Cela serait trop de demander."

Jack essayait de comprendre ce qui se passait. Elle n'avait jamais parlé comme cela avant.

"Sue..."

"Non, Jack. Je suis sérieuse. La plupart des hommes ne regarderont même pas deux fois une femme sourde. Et s'ils le font, ils ne collent pas autour très de longtemps."

"Sue, je ne connais aucune femme sourde... excepté toi, ainsi..." Il vît la déception dans les yeux de Sue.

"Oui, je le peux" Le regard sur son visage avait rendu sa réponse facile. "Particulièrement s'il s'était toi." Il a murmuré cette dernière phrase, mais Sue n'a pas manqué ces mots qui se formaient sur ses lèvres. Elle a regardé au loin, incertaine avec ses propres sentiments. Jack porta sa main à sa joue espérant attirer dee nouveau son attention. Sue s'est tournée vers lui, ses yeux posant les questions d'yeux qu'elle ne pouvait exprimer.

Déplaçant sa main vers sa nuque, Jack a tendrement tiré son visage plus près du sien. Leurs lèvres se sont rencontré avec une tendre hésitation. Ni l'un ni l'autre ne voulaient aller trop vite. Mais ni l'un ni l'autre ne voulaient briser cet instant. Leurs lèvres se quiitèrent mais ils restèrent front à front. Jack brisa le silence.

"J'avais raison, tu sais." Elle le regarda, embarassé. "Au sujet de quoi?" "Tu embrasses très bien..." Ils éclatèrent de rire. Le rougissement de ses joues la rendait encore plus mignonne au goût de Jack.

"Alors....tout va bien?" a-t-il demandé pour se rassurer. "Ça dépend." répondit Sue avec un sourire.

"Dépend de quoi?" demanda-t-il, en fronçant les sourcils augmentés.

"Est-ce que cela va te déranger quand je ferai trop de bruit dans la cuisine?"

Jack réalisa qu'elle ne blaguait pas et qu'elle était très vulnérable et répondit de tout son coeur. "Non."

"Va tu devenir impatient et frustré avec moi quand je ne comprendrai pas ce que tu dis?"

"Je ferai de mon mieux pour ne pas l'être. Mais, si je...dis-toi que c'est de ma faute et non la tienne."

"Tu n'es pas marié ? Des enfant que je ne connais pas ?"

Jack pouffa de rire et la regarda amoureusement dans les yeux. "Non."

Alors, nous sommes OK."

Ce n'est pas fini.....À suivre

YYYYYYYYYYYEEEEEEESSSSSSSSSSSSSS !!!!!!!!!!!!!!!! hourrra !!!!


merci gerard !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

génial ta suite gérard !!!!

J'ai hâte d'en voir une autre partie !!!

pour cette suite !!! Gerard

Hourra...enfin...

Super ce passage dans le parc...enfin ils se parlent dans les yeux...

1 point pour les filles....Sue a fait les premiers pas...!

J'ai bien hate de lire la suite...

Maria-maude

Enfin!!!!! Mais c'est encore la fille qui a fait les premiers pas! Ca me surprend un peu de voir la façon dont tu écris cette histoire! Mais c'est très instructif!

Sabine57 a écrit:

Mimi22!!!! excuse moi alors bienvenue au club

merci beaucoup sabine57

Merci Gérard pour la suite j'ai même eu la chair de poule.

je suis toute embarrasser.

ok je sort

Sue l'a poussé certes, mais pour une fois Jack n'a pas reculé et à s'est dévoilé. Alors arrêtez de lui tomber dessus, quoi. C'est le résultat qui compte.

Voici une autre tranche de vie.

Sue appela Lévi qui courrait plus loin. Jack se leva lui tendit la main pour l'aider à se mettre debout. Sue: Allez mon grand on rentre. Jack mis son bras autour de la taille de sa bien-aimée. Lévi: {Attention Jack, je te surveille.}

De retour à l'appartement, Sue et Jack sont au salon prennant une boisson chaude.

Sue: Tu veux bien me pincer?
Jack: Pourquoi?
Sue: Je veux être certaine qu'il ne s'agit pas d'un rêve et que je vais me réveiller dans quelques instants.

Jack fit ce qu'elle lui avait demandé.

Sue: Ouch!
Jack: Tu vois tu ne rêve pas.
Sue: Si tu savais depuis quand j'attendais ce moment. Depuis le jour où par erreur je suis entrée dans ton bureau.
Jack: Moi, Je bénis le gars du service de l'entretien d'avoir tarder à faire le changement sur la plaque pour mettre les services au bon étage.
Sue: Mon coeur se brisait à chaque fois que je te voyais avec une autre. Je les enviais tellement.
Jack: J'étais jaloux de Tony, du gars de la DEA, et de l'homme du parc.
Sue: David?
Jack: C'est comment je l'appelais.
Sue: Je croyais l'aimer. Mais lors de l'enquête sur le ''sniper'', tu te souviens de mon arrivée sur la scène d'un de ses meutres en robe de soirée, je me suis rendu à l'évidence que tu étais le seul qui comptait. À cette soirée mon corps était là mais mon esprit et surtout mon coeur était avec toi.
Jack: Et ne parlons pas de ses cadeaux. Les chemises hawaïennes étaient d'une laideur.

Sue se blottit dans les bras de Jack et déposa sa tête sur son épaule. Jack lui releva le menton et embrassa ses lèvres tendrement. Sue surprise se retira. Jack était mal à l'aise.

Jack: Je m'excuse, je ne veux pas te brusquer.
Sue: Non, non. Tout va bien. C'est moi qui devrai m'habituer. C'est encore tout nouveau pour moi.
Jack: Je suis surpris moi aussi, agréablement. J'avais prévu te dévoiler mon amour d'une autre façon que cette promenade au parc.
Sue: Ah oui? Quand et Comment? Raconte-moi.
Jack: Ce samedi de novembre au restaurant de l'hôtel. Mais tu connais la suite. Le téléphone de ma mère, la poursuite du voleur, l'hôpital. J'avais même acheter le penditif que tu portes maintenant. Et puis lorsque je t'ai reconduis en janvier. L'émotion était si forte que je ne pouvais rien exprimer alors j'ai laissé la boîte sur la table.~Ses yeux se remplirent d'eau~

Sue était touchée de sa franchise. Elle passa sa main derrière la nuque de Jack et l'embrassa passionnément. Le baiser fût cassé par le saut de Lévi. «C'est le téléphone» dis Jack. C'était Lucy qui faisait son appel hebdomadaire. Sue parla un un moment et pour couper court lui dit qu'un travail urgent l'attendait et lui promis de la rappeler dans la soirée.

Sue: À compter de maintenant on fait quoi?
Jack: Mon avion décolle à 19.30PM. Tu veux écouter la télé? Une partie de hockey? Sous-titré bien entendu.
Sue: Très drôle, Jack Hudson. Je pense plutôt à toi à Washington et moi ici à New-York.
Jack: Ah cela. Je vais m'abonner à un plan de récompense auprès d'une compagnie aérienne. Nous avons du temps à rattraper.
Sue: Une relation à distance ne te fais pas peur?
Jack: Rien ne l'empêche. Je suis capable de mettre les efforts. Surtout s'il s'agit de la femme de ma vie.
Sue: J'ai laissé une partie de moi à Washington et maintenant je l'ai retrouvée. Je ne veux pas que se soit toi qui fasse toujours le voyage.
Jack: Tu ne m'a pas déjà dis que ton travail te ramenerais à Washington à l'occasion.
Sue: Oui, mais n'oublie pas qu'il y aura les autres et surtout Lucy. Si je ne reste pas chez elle lors de mes déplacements et se doutera bien de quelque chose. Ce n'est pas que je ne suis pas certaine de mes sentiments pour toi mais j'aimerais garder le tout secret pour un moment.
Jack: Je comprend. On fera comme tu voudras. Lorsque tu sera à Washington nous aviserons. C'est pourquoi il serait plus facile pour moi de venir te rejoindre.
Sue: Ce n'est pas que je veuille te mettre à la porte. S'il n'en tenait qu'à moi je te garderais mais tu à un avion à prendre. Est-ce que je t'appelle un taxi ou si je fais le taxi?
Jack: Quel est votre tarif? Puis-je payer de ma personne?~Voyant Sue rougir et se mordiller la lèvre.~ [Pardonne-moi, mais je suis fou de toi.]
Sue: [Tu es pardonné mon coeur.]

À l'aéroport, l'annonce du vol de Jack est faite. Ils se font un ou plutôt des baisers d'adieu. Un homme s'approche de Jack.

Homme: Agent Hudson. ~Voyant maintenant la femme qui accompagne Jack.~ Sue!
Sue: William! Que faistes-vous ici?
William: Je prend le vol de 19.30PM pour Washington. Je dois rencontrer le président demain.
Sue: Vous êtes sur le même vol que Jack.

Jack embrassa une dernière fois Sue. Le dernier appel pour son vol avait été faite. Jack: [Je t'aime, je t'appelerai, à bientôt.] il resigna [Je t'aime.] Sue: [Moi aussi. Je te garde dans mon coeur.]

(«C'est bien ma chance» se dit Jack me voilà pris avec William machin chouette.)